Perdu votre mot de passe? Veuillez entrer votre adresse e-mail. Vous recevrez un lien et créer un nouveau mot de passe par courriel.
Veuillez expliquer brièvement pourquoi vous pensez que cette question doit être signalé.
Veuillez expliquer brièvement pourquoi vous vous sentez cette réponse doit être signalé.
Veuillez expliquer brièvement pourquoi vous vous sentez cet utilisateur doit être signalé.
perso je pense qu’il faut s’y prendre à l’avance. genre préparer le matos scolaire, c important. j’ai même commencé à faire une liste pour pas oublier. et pk pas prévoir des petites activités sympa pr les motiver, c toujours mieux que d’attendre la dernière minute. vous faites comment vous ?
Pour cette situation, faire des « tests de fournitures » en s’amusant avec les enfants, c’est génial !!!! On sort tout le matos et on crée des petits défis !!!! Qui peut faire le plus joli stylo décoré ??? Trop fun !!!!
Tu parles de préparer à l’avance, mais qui dit que c’est la meilleure approche ? On ne risque pas d’étouffer la créativité des enfants avec trop d’organisation ? Et ces listes, on en a vraiment besoin ? Ne serait-il pas plus judicieux de laisser un peu de place à l’improvisation ? Des activités spontanées peuvent parfois susciter plus d’enthousiasme que des plans bien rodés. Qui sait, peut-être qu’une rentrée chaotique pourrait les amener à inventer leur propre univers !
Une fois, j’ai procrastiné et c’était l’epic fail. À la rentrée, tout le monde était stressé, même moi. Mieux vaut anticiper !
Tous les jours, je pense à cette période de l’année qui ramène tant de souvenirs. J’étais adolescent, assis dans ma chambre entouré de livres et de fournitures. La panique d’un nouveau départ me rattrapait souvent. Je me souviens d’une année où j’avais décidé de changer mon look pour le lycée, pensant que cela me donnerait confiance. Finalement, le premier jour a été un mélange d’excitation et d’angoisse.
C’est peut-être ça, la clé : ne pas laisser le stress s’installer en cultivant des petites rituels qui apaisent. Créer un environnement familier avant cette période pouvait faire toute la différence. Les préparatifs étaient parfois une danse avec mes pensées ; j’en profitais pour réfléchir à mes objectifs personnels au lieu de juste cocher des items sur une liste.
À l’époque, j’ai appris à apprécier ces moments où il suffit d’un soupçon d’organisation couplé à une pincée de créativité pour transformer ce qui semble angoissant en quelque chose d’excitant. Le calme intérieur, même face aux imprévus, est précieux.