

Nous vous invitons à poser une question claire et concise (150 caractères) que vous pouvez ensuite compléter si vous le souhaitez (600 caractères)
Une fois validée par l'équipe de modération, votre question sera envoyée au(x) candidat(s) que vous avez sélectionné(s) et apparaitra sur le site avec votre prénom/nom.
Si vous posez la question au nom d'une personne morale ou d'un collectif, nous vous remercions de l'indiquer à la fin de votre message.
Règles de modérationÊtes-vous favorable à UNE POLITIQUE DU VELO au niveau européen ?
Que pensez-vous de la directive secret des affaires discutée au Parlement Européen et des impacts qu’elle aura sur l’accès à l’information des citoyens ? Allez-vous voter en faveur de ce texte ?
Madame,
Vous avez interpellé les députés européens à propos de la directive « Secret des affaires ». Nous vous remercions de votre vigilance sur les travaux du Parlement européen et vous félicitons du succès de la pétition que vous avez lancée. Une telle démarche fait vivre la démocratie européenne sur les grands sujets qui concernent l’ensemble des citoyens.
La délégation socialiste française partage totalement votre objectif : protéger les journalistes, leurs sources, les ONG et les lanceurs d’alerte, ainsi que l’information des citoyens.
Plutôt que de rejeter ce projet, les eurodéputé-e-s socialistes et radicaux sont mobilisés depuis le début pour en faire une directive de protection effective des journalistes et de leurs sources. En effet, nous savons qu’il y a encore en Europe des journalistes menacés, ainsi que leurs sources. Pensons à la Hongrie… ; c’est aussi avec leur situation en tête que nous menons notre travail de réécriture du texte.
Bien sûr, nous devons protéger l’innovation et le savoir-faire de nos entreprises : Airbus ou Michelin ne doivent pas pouvoir être espionnées par leurs concurrents, cela nul ne le conteste ! Mais les intérêts économiques, quand ils se matérialisent par des pratiques malhonnêtes et/ou contestables, ne doivent jamais primer sur l’intérêt général.
Les lanceurs d’alerte, les journalistes, les ONG ou encore les représentants du personnel doivent être protégés. Ils sont les gardes fous de la démocratie.
C’est le sens de notre engagement. Pour nous, la liberté d’expression doit l’emporter.
Lors du vote en commission parlementaire, nous avons arraché de nombreuses avancées et considérablement amélioré le texte proposé par la rapporteure Constance Le Grip (PPE-Les Républicains, FR), dont nous estimions la version initiale liberticide.
Nous avons obtenu la garantie d’une protection juridique pour tous ceux qui se battent pour révéler des pratiques contestables, ou illégales des entreprises.
Nous avons obtenu que la liberté et le pluralisme des médias soient exclus du champ de la directive et nous avons renforcé la protection des lanceurs d’alerte en faisant reconnaître que faire des révélations dans l’intérêt public était une chose légale. Ces améliorations constituent une avancée substantielle et une première victoire que nous voulons conforter lors des négociations avec le Conseil et la Commission.
Nous aurions souhaité aller plus loin, mais ne pas s’engager dans la négociation avec la droite revenait à la laisser gagner sur un texte plus dur, avec les droites extrêmes. C’est en responsabilité que nous nous sommes engagés dans le rapport de force.
Lors du vote final nous ferons le bilan des avancées et nous établirons en toute conscience notre position définitive sur un texte aussi crucial pour notre démocratie.
En parallèle, nous veillerons à ce que des propositions européennes concrètes pour la protection, notamment des lanceurs d’alerte, puissent figurer dans le rapport en cours d’élaboration par la commission spécial TAXE, créée au Parlement européen à la suite de l’affaire Luxleaks. Nous serons ravis de pouvoir travailler avec vous sur l’élaboration d’un statut protecteur des lanceurs d’alerte.
Nous restons à votre disposition pour tout échange que vous jugeriez opportun."
Pervenche Berès (présidente) de la Délégation socialiste française, Eric Andrieu, Guillaume Balas, Jean-Paul Denanot, Sylvie Guillaume, Louis-Joseph Manscour, Edouard Martin, Emmanuel Maurel, Gilles Pargneaux, Vincent Peillon, Christine Revault d'Allonnes-Bonnefoy, Virginie Rozière, Isabelle Thomas
Comment atteindre plus de démocratie et de transparence en Europe ?
Quel est votre degré de complicité dans le cadre de l'incivisme des élites politiques ?
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On veut la vérité sur PÄMOUNCI !
Cf : http://forums.france2.fr/ce-soir-ou-jamais/Participez-aux-debats/politiq... Replier
Vous l’aurez remarqué, je suis une nouvelle figure en politique. Je représente le renouvellement et c’est le choix que nous avons fait, radicaux et socialistes, dans la circonscription Sud-ouest.
Mon unique mandat sera celui de députée européenne. Plus que ça, je m’engage à être présente au Parlement, mais aussi en circonscription. Chaque année, je reviendrais dans les 18 départements pour écouter ce que les citoyens ont à me dire.
Pour plus de démocratie, il faut renforcer les pouvoirs du Parlement. Il est le garant de la démocratie et de la souveraineté populaire.
Donner plus de pouvoir aux députés, c’est donner plus de pouvoir aux citoyens européens. Pour cela, il faut que les députés puissent avoir une initiative législative. Mais c’est aussi faire en sorte que la Commission ait une responsabilité vis-à-vis du Parlement. Il faut aussi revoir le rôle de la BCE et intégrer davantage le Parlement dans ses décisions.
C’est en allant dans ce sens que l’Europe sera plus démocratique, plus transparente et plus respectueuse de sa population.
Le parti fédéraliste européen propose de changer le modèle de l'UE tel qu'il existe aujourd'hui en élisant un président au suffrage universel direct et en créant une sorte de sénat "assemblée des régions européennes". Nous souhaitons également doter le parlement européen d'un pouvoir d'initiative car actuellement, il ne dispose pas de ce pouvoir.
Ces changements majeurs permettront d'assurer la démocratie en europe et assurerons la responsabiliation des élus et du président. Si les citoyens ne sont satisfaits de la politique qui est menée, il pourront les sacnctionner dans les urnes.
Il faut également assurer une transparence parfaite des dépenses publiques, tout comme cela est fait en matière de votes des élus.
Nous sommes un parti composé de citoyens. Nous ne sommes pas des professionnels de la politique. ce qui nous guide, ce sont nos convictions qu'il faut changer la politique européenne telle qu'elle existe aujourd'hui.
Ce qui nous anime, c'est un avenir plus démocratique et une politique plus protectrice des citoyens.Nous pensons qu'il faut réfléchir ensemble à notre avenir. Nous ne nous retrouvons pas dans l'incivisme des élites politiques et nous n'en sommes pas complices.
Bonjour,
Pour atteindre plus de démocratie, nous voulons renforcer le pouvoir du parlement : la commission ne doit pas avoir seule l'initiative des lois.
nous souhaitons également abaisser le nombre de signatures nécessaires aux Initiatives Citoyennes afin de donner plus de pouvoir aux citoyens.
Nous avons aucun dégré de complicité. Dans l'ADN du Parti Pirate figure la lutte contre la corruption.
Les élus doivent rendre des comptes à leur citoyen car leur travail est de les représenter décemment : expliquer le fonctionnement des institutions, raconter ce qu'il se passe au parlement et expliquer leurs votes et le sens de leur participation à la construction européenne.
Dès le départ, la construction européenne était un projet non démocratique. La Commission concentre les pouvoirs exécutif et législatif au mépris du principe de séparation des pouvoirs chers à Montesquieu.
Elle a un regard sur le judiciaire, sous le contrôle toutefois de la cour européenne de justice. Elle a la maîtrise du calendrier de l'union et est composée de gens non élus qui n'ont aucun compte à rendre aux peuples. En bon français cela s'appelle un dictateur.
Or on ne peut modifier les traités européens qu' à l'unanimité des 28 États membre (article 48 du TUE). C'est politiquement et mathématiquement impossible. Le système est autobloquant.
L'UPR en tire les conclusions qui s'imposent. Nous proposons de :
1. sortir de l'UE par l'article 50 du TUE, légalement, sereinement et sans extrémisme,
2. sortir de l'euro et rétablir la souveraineté monétaire de la France,
3. sortir de l'OTAN qui nous emmène dans des guerres illégales et illégitimes afin de renoueer avec nos amitiés séculaires (Maghreb, Afrique noire francophone, Indochine, Amérique latine, pays du Levant, etc.)
4. appliquer le programme du Conseil National de la Résistance de 1944 intitulé "Les jours heureux" réactualisé (un programme social, républicain et patriotique)
Vous pouvez télécharger ce programme sur notre site "upr.fr"
Si le projet européen est au milieu du gué, les responsables en sont notamment nos dirigeants politiques, bloqués par le clivage gauche-droite. Ils font de Bruxelles le bouc émissaire de tous nos maux et y envoient trop souvent les recalés de la politique nationale à la recherche d’un mandat alimentaire en complément d’autres activités.
Les dirigeants politiques français n’ont pas plus de crédibilité à Bruxelles qu’ils n’en ont en France, à force de promesses non tenues. Ils ne sont plus porteurs d’un projet et d’une vision pour l’Europe. Ils ont réussi à imposer en Europe le modèle français actuel, immobilisme et suradministration. L’Europe mérite mieux qu’un paquet de normes illisibles et de dirigeants politiques désabusés.
Nous voulons retrouver le sens commun. Alors que les crises ébranlent notre continent, nos concitoyens veulent contribuer à l’élaboration de solutions pour une vraie solidarité entre les territoires, entre les « inclus » et les « exclus » de la société et entre les générations.
Il y a urgence, en particulier pour les plus jeunes, sur qui pèse le poids d’une dette irresponsable, et qui vivent dans de trop nombreuses régions de l’Europe un quotidien de chômage et de précarité.
Nous voulons envoyer à Bruxelles des députés compétents et totalement engagés pour finir ce qui a été commencé, pour avoir enfin une Europe qui fonctionne avec des bénéfices visibles pour tous les Français dans leur vie quotidienne.
Comme tous les candidats Nous Citoyens, je me suis engagé par écrit, en signant la charte du candidat citoyen disponible pour information sur notre site, à :
- Exercer un mandat complet et à plein temps ;
- Participer activement à l’ensemble du travail parlementaire, lors des sessions plénières et en amont lors de l’élaboration des textes et rapports ;
- Communiquer de manière active avec les citoyens sur sa mission de député européen et l’action de l’Union européenne ;
- Ne pas exercer plus de 2 mandats successifs de député européen ;
- Réaliser un compte-rendu régulier, au minimum quadri-annuel, de son action de député(e) européen(ne), auprès de ses électeurs et de Nous Citoyens.
Quelle place accordez-vous à l'écologie, notamment en terme de politique sur les déchets et les énergies. Et selon vous, quelle est la place des milieux naturels ?
Quelles orientations voulez-vous donner à la PAC ?
Comment voyez-vous le rôle et la place du citoyen européen ? Afficher la suite
Avec tous mes remerciements, Replier
Nous défendons une écologie radicale : sortir du nucléaire dans les 10 ans, arrêter les énergies fossile, opposition aux gaz de schiste, développement des énergies renouvelables, économie d'énergie (plan d'isolation des logements, développement des transports collectifs ...), contre les OGM, contre les pesticides, pour une agriculture écologique ...
Cela signifie pour nous forcément par des politiques en rupture avec la rentabilité, la course au profit. Cela signifie aussi la mise en place de véritables services publiques de l'énergie production et distribution) sous contrôle des salariés et des populations.
Ça pose le problème d'une économie qui ait pour critère et objectif de répondre aux besoins des populations, qui se pose le problème de quoi produire et de comment produire, tenant compte de la protection de l'environnement et des êtres humains.
Une vraie écologie est incompatible avec le capitalisme.
Comme pour l'ensemble des questions politiques et sociales, nous dénonçons des politiques qui favorisent les pluq riches, les grosses exploitations, les plus gros au détriment des pluq petits. Nous défendons une agriculture non productiviste, écologiste, avec des circuits courts, avec la défense des petits paysans, des petites exploitations qui produisent de la qualité, de la "bonne bouffe".
Il faut s'opposer au système qui favorisent les multinationales. Il faut une véritable démocratie directe, un pouvoir partagé, où les gens décident de leur vie tout.en respectant l collectivité et environnement.
Toute la population à son mot à dire, doit pouvoir décider. C'est à l'opposer de ce qu'est et de ce que fait l'union européenne.
Nous sommes pour une démocratie directe, une démocratie par en bas avec des strucurures démocratiques à tous les niveaux qui permettent à toutes et tous d'y participer.
Les citoyens, tous les citoyens, avec les mêmes droits, doivent décider collectivement. Il faut évidemment rompre avec cette Europe libérale et antidémocratique.
Vive la révolte des peuples contre cette Europe des banquiers pour remettre l'individu au centre de la société.
Le cœur de notre programme est de sortir de l'UE par l'article 50 du TUE, de sortir de l'euro et de l'OTAN afin de rétablir la démocratie en France, c'est-à-dire la souveraineté du peuple français. Ensuite, nous voulons appliquer le programme du Conseil National de la Résistance de 1944 intitulé "Les jours heureux" et réactualisé par nos soins. Vous pouvez le télécharger sur notre site "upr.fr".
Nous réunissons des Français venus de tous les horizons politiques qui ont décidé de "se dépasser", de mettre de côté leurs divergences pour se concentrer sur l'essentiel : libérer la France de la dictature de l'UE.
Vous pensez peut-être que j'exagère, alors étudiez le processus décisionnel qui a conduit à l'autorisation de mise en culture du maïs OGM TC-1507. Dans cette vidéo de 11' j'explique ce processus à partir de 3'50. Je vous conseille cependant de regarder depuis le début pour mieux comprendre. https://www.youtube.com/watch?v=TR2EiJaIXCE&feature=youtu.be
Aujourd'hui les députés européens ont très peu de pouvoir, en particulier vis à vis des firmes de la chimie, des pétroles et de la pharmacie. Quelques exemples récents de décisions de la commission européenne :
- Autorisation jusqu'à 10% d'huile moteur dans l'huile alimentaire : http://neptunya.fr/10-huile-de-vidange-dans-les-huiles-et-produits-alimentaires-avec-la-benediction-de-leurope/
- Autorisation du poulet américain à la javel : http://www.principes-de-sante.com/article/coups-de-gueule-poulet-americain.html
- Retour des farines animales : http://lci.tf1.fr/science/environnement/les-farines-animales-font-leur-grand-retour-dans-l-alimentation-7983408.html
- OGM à gogo et bientôt gaz de schiste...
Avec le grand marché transatlantique qui arrive, ce sera encore pire, alors le seul moyen de sortir de ce piège est de sortir de l'UE sereinement et légalement par l'article 50 du TUE, sans extrémisme.
Nous accordons une grande importance à l'écologie. L'écologie est d'abord une discipline scientifique, branche de la biologie. A titre personnel, ma fille ainée est docteur en écologie de l'université de Zurich depuis deux mois. Notre responsable national pour les questions agricoles est un agriculteur trentenaire qui fait de l'agriculture raisonnée et est en chemin vers le bio.
Une fois la démocratie rétablie en France, la PAC sera remplacée par la PAN. Aujourd'hui, la France verse 22 milliards d'euros à l'UE. L'UE nous en reverse 14 sous forme de PAC et de projets "européens" financés avec NOTRE argent (et au passage, l'UE nous en pique un tiers). Notre politique agricole vise à relancer l'agriculture paysanne et les circuits courts. Tout cela est dans notre programme.
Un dernier mot ; nous sommes des citoyens. Aucun de nous n'est un politicien professionnel. Nous n'avons pas l'habitude de mentir car nous n'en avons jamais fait profession et ne le ferons jamais.
Nous proposons que l’Europe joue effectivement son rôle de force de proposition à l’échelle mondiale pour tracer la voie vers une économie dé-carbonée, à la fois par la fixation d’objectifs ambitieux, par la mise en oeuvre des programmes de recherche et industriels permettant de les atteindre, et par la mesure et un contrôle fiables des résultats.
L’Europe doit se doter d’une politique de l’énergie permettant à la fois de garantir notre approvisionnement énergétique à des conditions économiques acceptables pour les entreprises et les citoyens, et de contribuer significativement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour cela, nous proposons de créer un Régulateur européen de l’Energie, chargé de définir des objectifs de « mix énergétique », et de concevoir un schéma directeur des réseaux afin de garantir la sécurité d’approvisionnement et la gestion des énergies intermittentes. Ce Régulateur sera en outre chargé de définir et de mettre en oeuvre des mécanismes de marché permettant d’atteindre ces objectifs.
Nous proposons de faire de l’efficacité énergétique une priorité, car la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas. Nous proposons que la France soit exemplaire dans la transposition des textes européens existants dans ce domaine. L’isolation thermique des bâtiments est ainsi une priorité énergétique.
L'Europe doit fixer des objectifs contraignants à chaque État membre pour améliorer la qualité de l’air et de l’eau et des sols, et réduire les pollutions. Des objectifs ambitieux ont été fixés, mais ils restent optionnels et peu suivis d’effets.
Nous voulons réaffirmer les objectifs fondamentaux de la PAC tout en les adaptant à notre temps. L’agriculture doit produire des aliments de qualité. Chaque agriculteur doit pouvoir vivre du fruit de son travail : les prix doivent permettre une rémunération juste. Les modes de production respectueux de l’environnement doivent être encouragés, dans une relation de confiance avec l’ensemble des agriculteurs.
Nous proposons d’accélérer et de soutenir la mutation du système actuel de subventions et d’aides, vers un système d’autonomie des exploitants agricoles, éleveurs et producteurs laitiers, afin de stimuler l’esprit d’entreprise, encourager l’innovation, accompagner la recherche de valeur ajoutée et contribuer à la création d’emplois.
Un fonds de solidarité doit être mis en place, dédié aux exploitations les plus concernées par les déséquilibres de la filière agricole. Ce fonds, abondé par la filière agro-alimentaire et la grande distribution, géré régionalement, serait contrôlé par les agriculteurs eux-mêmes.
Nous proposons de favoriser une consommation plus juste et équitable et de renforcer le lien consommateur – producteur. Nous proposons de soutenir le développement des « circuits courts ».
Depuis trop longtemps, des politiciens de carrière ont confisqué le pouvoir. Rendre la main au citoyen, au niveau français comme européen, est tout simplement le fondement de notre mouvement.
Bien cordialement,
Allez-vous voter contre le candidat de la commission si celui-ci ne fais pas partie des 5 présentés durant la campagne.
Quel candidat soutenez-vous ?
Bonjour
Je soutiens Martin Schulz, candidat des progressistes et des humanistes en Europe pour le Parti Socialiste européen (PSE).
Le lien direct entre le choix du président de la commission et le vote des citoyens est une avancée majeure pour la démocratie en Europe.
Vous le savez, c’est une innovation du traité de Lisbonne que nous avons appelé de nos voeux et dont nous soutiendrons la mise en oeuvre.
Monsieur,
Sachez que si seules 5 sont médiatisées, il y a 6 candidatures à la présidence de la commission européenne. Notre soutien va pour le tandem Amelia Andersdotter/Peter Sunde représentant du Parti Pirate Européen.
Cordialement
Nous ne soutenons aucun candidat car nous sommes contre cette construction européenne non démocratique dont la commission est le dictateur. En effet, selon l'article 17 du TUE, elle concentre les pouvoir exécutif et législatif au mépris du principe de séparation des pouvoirs cher à Montesquieu, elle a un regard sur le judiciaire sous le contrôle toutefois de la cour européenne de justice, elle a la maîtrise du calendrier et elle est composée de personnes non élues qui n'ont aucun compte à rendre aux peuples.
L'UPR en tire les conclusions qui s'imposent. Nous proposons de :
1. sortir de l'UE par l'article 50 du TUE, légalement, sereinement et sans extrémisme,
2. sortir de l'euro et rétablir la souveraineté monétaire de la France,
3. sortir de l'OTAN qui nous emmène dans des guerres illégales et illégitimes afin de renoueer avec nos amitiés séculaires (Maghreb, Afrique noire francophone, Indochine, Amérique latine, pays du Levant, etc.)
4. appliquer le programme du Conseil National de la Résistance de 1944 intitulé "Les jours heureux" réactualisé (un programme social, républicain et patriotique)
Vous pouvez télécharger ce programme sur notre site "upr.fr"
Nous voulons que le résultat des élections européennes soit effectivement pris en compte pour choisir le prochain Président de la Commission européenne. C’est inscrit dans les traités européens, mais les Etats sont réticents à accepter la volonté exprimée par les citoyens européens.
Pour les députés européens, le fait d'être inscrit dans un groupe politique permet d'avoir accès à des fonctions clés pour faire bouger les lignes et ainsi peser dans le débat européen.
Pour chaque candidat à la présidence de la Commission européenne, nous analysons pendant toute la campagne son programme pour l’Europe et les Européens, notamment sa cohérence avec nos propres propositions. Il s’agira également de négocier avec les candidats à la Commission européenne afin que certaines de nos propositions soient reprises dans leurs programmes.
Nous serons fidèles à notre démarche participative, et dès le début du mois de juin, en fonction des résultats du 25 mai, nous consulterons nos adhérents sur ces choix importants.
Nous voulons que le résultat des élections européennes soit effectivement pris en compte pour choisir le prochain Président de la Commission européenne. C’est inscrit dans les traités européens, mais les Etats sont réticents à accepter la volonté exprimée par les citoyens européens.
Par ailleurs, pour peser dans le débat européen, nos députés européens que les Français éliront devront certainement s’inscrire dans un groupe politique : c’est nécessaire pour avoir accès à des fonctions clés pour faire bouger les lignes. Nous allons analyser pendant toute la campagne les programmes et ambitions des candidats à la présidence de la Commission européenne.
Nous nous déterminerons en fonction de leur ambition pour l’Europe et les Européens, de la solidité et de la cohérence de leurs propositions avec nos messages et nos valeurs.
Dès le début du mois de juin, en fonction des résultats du 25 mai, nous consulterons nos adhérents sur ces choix importants.
Cette démarche doit également nous permettre de négocier avec les candidats à la Commission européenne afin que certaines de nos propositions soient reprisent dans leurs programmes.
Que proposez vous pour limiter drastiquement la concurrence déloyale qui sévit entre la France et certains pays européens dans le marché du travail ? Afficher la suite
Notamment dans le secteur du BTP dans le Sud-Ouest qui pâtit énormément de la concurrence des entreprises espagnoles avec des offres financières beaucoup plus basses sur les marchés publics et privés français du fait du ralentissement économique important de l'Espagne. Replier
Pour nous la seule façon de combattre les délocalisations ou ce que vous appelez la "concurrence déloyale" c'est l'uniformisation des droits économiques et sociaux sur l'ensemble de l'Europe.
Nous défendons l'idée d'harmoniser par le haut l'ensemble des droits, de prendre ce qu'il y a de plus avancé socialement, de plus progressiste pour le généraliser. Un revenu minimum pour toutes et tous, l'interdiction des licenciements, la répartition du travail avec une réduction du temps de travail pour toutes et tous sur toute l'Europe.
En clair, il faut supprimer tout ce qui met les salariés et les peuples en concurrence les uns contre les autres.
Cela signifie une politique en rupture avec les logiques libérales, un partage des richesses pour les mettre au service des salariés, de mettre en place une économie qui répond aux besoins des populations et non à la soif de profits des possédants, des capitalistes.
Cordialement
Ce que vous dénoncer est le fait de l'article 18 du traité sur l'union européenne (TUE) ainsi que des articles 63 et 32 qui organisent les délocalisations.
Il faut donc dénoncer ces articles.
Or pour toute modification des traités, il faut l'unanimité des 28 États membre. Cela est mathématiquement et politiquement impossible.
Nous en tirons les conséquences logiques, nous proposons de :
1. sortir de l'UE par l'article 50 du TUE, légalement, sereinement et sans extrémisme,
2. sortir de l'euro et retrouver notre souveraineté monétaire,
3. sortir de l'OTAN et réinscrire la France dans la grande histoire de France.
Nous proposons ensuite d'appliquer la programme du Conseil National de la Résistance de 1944 intitulé "Les jours heureux" réactualisé.
Je vous suggère de visiter notre site "upr.fr" afin de lire nos analyses
Cordialement
Bonjour Ludovic,
Nouvelle Donne propose de remettre la justice sociale au coeur de cette Europe par deux mesures fortes.
La première, instaurer un traité de convergence sociale à plusieurs pays afin d'éviter la course au moins-disant social.
La deuxième, instaurer un salaire anti-dumping européen qui obligera l'entreprise qui délocalise dans un pays où le coût horaire du travail est moindre, à payer les salariés à la moyenne du salaire de leur pays d'origine et du salaire français.
Concernant le BTP, nous proposons également de construire les 800 000 logements manquant en France.
Comment? Actuellement, il y a 36 milliards d'euros du FOnds de réserve des Retraites placés sur les marchés financiers. Nous proposons de les réaffecter à cet effet.
Êtes vous favorable à la défense ou à l'interdiction de la corrida en Europe ?
Nous ne nous prononçons pas sur cette question, volontairement. En effet l'UPR a vocation à rassembler provisoirement des Français de toutes les opinions politiques afin de se concentrer sur LA priorité du moment : libérer la patrie.
Aussi, nous refusons de nous prononcer sur des débats clivants. ceux-ci seront traités une fois que la France aura été libérée de cette dictature qu'est l'union européenne.
Je vous invite à lire notre charte fondatrice sur le site "upr.fr" ainsi que notre programme, directement inspiré de celui du Conseil National de la Résistance (CNR) de 1944 intitulé "Les jours heureux" et réactualisé. Vous pouvez le télécharger en ligne. Vous pourrez également visionner des conférences en lignes, très pédagogiques et très documentées et sourcées.
L’Europe a pour vocation de rendre possible et de faciliter les échanges entre ses États membres, mais ne doit pas légiférer sur tous les aspects de la vie des citoyens.
Des réglementations, oui, mais respectueuses des réalités et des spécificités locales. L’Europe doit simplifier la vie quotidienne, pas la compliquer ! De nombreux exemples caricaturaux témoignent d’une réglementation inappropriée pour le marché intérieur : taille des cages pour les poules, contenance des chasses d’eau, obligation pour un commerce de bouche de disposer d’au moins deux réfrigérateurs, pour le salé et pour le sucré, etc.
Respecter le principe de subsidiarité, c’est considérer que la plupart des problèmes locaux sont mieux réglés au niveau local.
Bonjour,
Nouvelle Donne est un jeune parti politique de 6 mois d'existence. Nous fonctionnons en interne de façon collaborative.
Notre programme est l'émergence de cette réflexion menée par notre mouvement composé actuellement de plus de 8000 adhérents.
Nous n'avons pas encore tranché toutes ces questions mais une fois les élections européennes passées, nous nous remettrons au travail ensemble.
JE vous invite à nous rejoindre pour nous apporter votre point de vue.
Sujet très sensible chez nous
En Occitanie, le culte du toro est présent au côté de celui du taureau.
CORRIDA/
Je n'approuve pas que l'on fasse de la mort, donnée à un animal, un spectacle; toro qui agonise et vomit du sang.
Je n' oublie pas ce qui l'a précédée: les banderilles, les picadors sur les chevaux aux yeux masqués , les piques répétées....
Il est des voix pour défendre un tel spectacle et l'aimer, au nom des traditions et de l'art.
Il existe de nos jours des traditions indéfendables ;
Et l'art s'il est entâché de sang ne peut s'appeler art.
COURSES CAMARGUAISES /
Dans un registre totalement différent, celles-ci appartiennent à notre patrimoine.
Assister dans les arènes de nos villages, à une ''course libre'', alliant courage, sportivité et adresse des raseteurs d'un côté, vivacité, fougue, beauté et intelligence des taureaux de Camargue de l'autre , est bien autrement source d'émotions et de plaisir pour les spectateurs
De même pour les courses landaises.
Pour la prochaine législature, vous engagez-vous afin que l’eau et la gestion de la ressource soient exclues de la marchandisation ? Afficher la suite
Avez-vous soutenu l'Initiative Citoyenne Européenne (ICE) sur le droit à l’eau? en la signant ? OUI NON
Le collectif d'associations CADE va communiquer sur l’engagement des candidats concernant l’application de l’Eau et l’Assainissement comme Droit de l’Homme, ainsi que le prévoit la résolution de 2010 des Nations Unies Replier
Bonjour
L'eau est un bien public. Sa qualité et son accès doivent être garantis. C'est pour cela que l'eau doit être protégée de la spéculation.
Il faut bien sur être conscient du coût de son acheminement et de son traitement, que seul l'État est capable d'assumer.
Ce coût doit être réparti le plus justement possible, et la consommation de base des ménages garantie au prix le plus faible possible.
C'est pour cela que je suis favorable à une progressivité du prix de l'eau.
Cordialement
Bonjour
Nous défendons résolument le développement des services publics pour répondre à tous les besoins fondamentaux de la population. L'eau en fait évidemment partie. Nous combattons la privatisation et la marchandisation des services publics.
Nous soutenons les mobilisations qui vont dans ce sens. Nous sommes convaincus qu'il faut enlever aux capitalistes les moyens de nuire à l'économie et aux intérêts de la population. D'où la nécessité de véritables services publics sous contrôle des salariés et de la population que ce soit dans la santé, l'éducation, les transports, l'énergie, le traitement et la distribution de l'eau ...
Cordialement
Bonjour,
Je répond avec plaisir à votre question sur le droit à l'eau et les excès que provoque la privatisation illégale des ressources et des espaces publics.
Notre mouvement, qui est une association étrangère à tout engagement partisan, lutte pour la protection des droits et c'est ce qui nous a poussé à agir en nous présentant aux européennes : les partis politiques professionnels se sont attribués des privilèges, avec souvent la complicité d'organismes privés qui les soutiennent financièrement pour en obtenir des avantages, y compris dans les domaines qui vous tiennent à cœur, comme le droit à l'eau et à d'autres ressources publiques, mais aussi des droits fondamentaux, d'où tout découle.
Nous sommes convaincus que cette situation, qui éloigne des urnes les citoyens, qui ne sont plus dupes et ne se sentent pus représentés, est dangereuse pour la démocratie, mais qu'il existe un moyen simple, légal, de sortir de cette crise : libérer le droit de vote, c'est le fondement, pour lutter contre les oligarchies et renouveler nos représentants. Si le vote blanc était reconnu comme suffrage exprimé, ce qui n'est toujours pas le cas malgré des allégations mansongères, nous, les citoyens, aurions la possibilité d'exclure ceux qui abusent de leur situation d'élu pour faire carrière. Le retour au droit, à la souveraineté citoyenne, deviendrait alors possible.
C'est aussi la raison pour laquelle nous avons lancé un recours en justice contre la dernière loi qui vient encore de censurer le droit de vote. Le droit aux ressources publiques est absolument à défendre, bien sûr, au même titre. Pour nous aider à défendre les droits, faute de vote blanc utile pour éjecter les partis professionnels, nous avons décidé d'être présents dans ce débat et de vous proposer de mettre en lieu et place un vote utile avec, sur ce lien, le bulletin des Citoyens du Vote Blanc.
Nous soutenons bien sûr, à titre strictement individuel, car chacun est libre de ses opinions sur les sujets de société, les initiatives européennes qui ont ces mêmes objectifs.
Bien cordialement
Bonjour
Notre programme politique est celui du Conseil National de la Résistance de 1994 intitulé "Les jours heureux" réactualisé. Vous pouvez le télécharger sur le site "upr.fr".
Le point N°9 est intitulé "Faire retour à la nation des grands moyens de production privatisés, des sources d'énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d'assurance et des grandes banques. Il y prévu une nationalisation des sociétés de réseaux d'adduction d'eau.
Cela étant dit, il faut que vous sachiez que les parlementaires européens ont infiniment moins d'influence sur ce genre de question que le PDG de Nestlé, de Vivendi ou autre firme multinationale engagée dans le secteur de l'eau. L'UE est tenue par une oligarchie qui nous a imposé jusqu'à 10% d'huile moteur dans l'alimentation (en 2008 et c'est toujours en vigueur), le poulet américain à la javel (malgré le désaccord de TOUS les États de l'UE), les OGM et qui nous imposera bientôt le gaz de schiste. Avec le grand marché transatlantique qui se négocie en secret dans le dos des peuples, ce sera bien pire encore.
Aussi, nous sommes convaincus qu'il faut absolument sortir de ce piège mortel pour notre pays, piège qui détruit aussi bien nos acquis sociaux que notre terre et notre littoral.
Nos propositions sont donc sans ambiguïté ; sortir de l'UE sereinement et légalement par l'article 50 du TUE, de l'euro et de l'OTAN afin de rétablir la démocratie en France. C'est à ces seules conditions que nous pourrons appliquer le programme du CNR.
L’Europe a pour vocation de rendre possible et de faciliter les échanges entre ses États membres, mais ne doit pas légiférer sur tous les aspects de la vie des citoyens. Des règlementations, oui, mais respectueuses des réalités et des spécificités locales. De nombreux exemples caricaturaux témoignent d’une règlementation inappropriée pour le marché intérieur : taille des cages pour les poules, contenance des chasses d’eau, obligation pour un commerce de bouche de disposer d’au moins deux réfrigérateurs, pour le salé et pour le sucré, etc. Respecter le principe de subsidiarité, c’est considérer que la plupart des problèmes locaux sont mieux réglés au niveau local.
La Commission européenne doit justifier effectivement le caractère indispensable de toute nouvelle proposition de règlementation dans le domaine de ses compétences partagées avec les États membres : la règlementation européenne ne doit s’appliquer qu’aux enjeux de nature européenne.
Concernant la question de l’eau, ressource précieuse et limitée, nous proposons que l'Europe fixe des objectifs contraignants à chaque État membre pour améliorer la qualité de de l’eau et réduire les pollutions. Des objectifs ambitieux ont été fixés, mais ils restent optionnels et peu suivis d’effets.
Si je suis élu au Parlement Européen, je soutiendrai le débat sur les biens communs et pour mettre en avant les initiatives pour une législation spéciale dans le domaine de l’eau, en alliance et en coordination avec les membres de la société civile.
Comme les autres candidats de Nouvelle Donne, je soutiens le "European Water Movement", ainsi que d'autres initiatives, répertoriées sur notre site à la page http://www.nouvelledonne.fr/nous-soutenons
Je vous invite à consulter le programme et les propositions de Nouvelle Donne, à l'adresse www.nouvelledonne.fr/le-programme-des-europeennes. Je suis sûr que vous y trouverez, avec nous, des raisons d'espérer pour le futur de notre Europe.
Ensemble, le 25 mai, ReprenonsLaMain !
Bien cordialement,
Bonjour,
L'accés à une eau garantissant la conformité à toutes les normes de qualité sanitaire doit être exclue de toute forme de marchandisation et de spéculation.
L'eau est un bien public élémentaire et condition de vie.
L'Europe a pour mission d'exiger le respect et l'application de ce principe.
De la dimension de proximité à la dimension globale, que ce soit au niveau local, régional, mondial, la gestion de l'eau doit être assurée sur les critères du progrés humain et environnemental, équitablement et dans la plus grande solidarité.
Ccordialement
Que proposez-vous pour le respect de la laïcité ?
Lutte contre des droits fondamentaux ou contre des catégories de la population, appels à retirer les enfants de l'école ... On a pu voir en France les ravages du fanatisme religieux - et je parle de toutes les religions.
Vous le savez, le Parti Radical de Gauche est un ferveur défenseur de la laïcité. Elle est un rempart contre la tutelle des religions sur la société.
Il ne s'agit pas, comme le fait la droite en Europe, d'en détourner le sens pour justifier des positions xénophobes, mais d'empêcher leur influence sur les décisions politiques et le vivre ensemble.
Parce qu'elle permet de faire progresser les lois vers plus de justice, d’égalité et de liberté, je me battrai pour qu'elle soit inscrite dans la charte des droits fondamentaux lors de la prochaine révision des traités. C'est un préalable nécessaire à toute législation concrète permettant de garantir la laïcité en Europe.
Et quotidiennement, mon combat sera d’exclure la question religieuse du débat européen, où elle n’a pas sa place.
Bonjour
Le Parti Fédéraliste Européen propose une Europe Fédérale et plus démocratique avec une harmonisation sociale et fiscale.
Nous serons très vigilant quant au respect de la laïcité en Europe tout comme au respect de la liberté de culte. Chacun doit être libre de ses pensées.
Cordialement
Madame,
La laïcité est un prérequis à la démocratie.
La démocratie c'est mettre tout le monde au même niveau et accorder les mêmes droits à tous. Il ne peut pas y avoir de démocratie non-laïque.
Cordialement
Bonjour
Notre programme politique est très largement inspiré de celui du Conseil National de la Résistance de 1944 intitulé "Les jours heureux" que nous avons réactualisé. C'est un programme en 20 points que vous pouvez du reste télécharger sur le site "upr.fr".
La question de la laïcité fait l'objet du point N°5 "Bannir toute stigmatisation et tout communautarisme du domaine public" [ Établir le respect de la personne humaine et l'égalité absolue de tous les citoyens devant la loi.
- Remettre au premier plan le principe de la laïcité et du refus du communautarisme.
- Refuser la stigmatisation insidieuse de Français d'origine arabe ou de confession musulmane, comme la stigmatisation de tout Français en vertu de ses origines sociales ou ethniques ou bien de ses convictions politiques ou religieuses.
- ... ]
J'ajoute que le communautarisme provient de sociétés anthropologiquement inégalitaires, comme l'anglaise et l'américaine (inégalitaires et libérales) ou l'allemande (inégalitaire et autoritaire). Tandis que la France est dominée par un modèle anthropologique égalitaire et libéral. En somme, le communautarisme ne fait pas partie du "logiciel" France.
A titre d'illustration, le taux de mariages mixtes (entre les filles d'immigrés et les hommes français natifs) est stable entre 20 et 25% depuis des décennies. En Angleterre ou en Allemagne, il est stable à moins de 1%.
Ce communautarisme nous est imposé par le monde anglo-saxon qui nous domine et nous gouverne via les institutions de l'union européennes. Ce faisant, on veut nous convertir à une façon de penser, encadrée par le "politiquement correct" qui dévoie le sens des mots et affaiblit notre liberté. Car comme disait Confucius : "Quand les mots perdent leur sens, les Hommes perdent leur liberté."
Ainsi, on se met à vouloir redéfinir la laïcité, à la qualifier (quelle absurdité !), à en écrire des tonnes, alors qu'il s'agit d'un concept extrêmement simple, qui ne nécessite aucun long développement et qui est ancré dans la culture profonde de notre pays : "L’État n'exerce aucun pouvoir religieux et les églises aucun pouvoir politique."
Lorsque la France sera de nouveau libre, c'est-à-dire qu'elle se gouvernera elle-même, la laïcité se vivra au quotidien de la façon la plus naturelle du monde, à part peut-être quelques cas particuliers (la bordure marginale de la courbe de Gauss).
L'UPR propose donc de rétablir la démocratie en France, c'est-à-dire la souveraineté du peuple français. Nous voulons sortir de l'UE, sereinement, en dehors de tout extrémisme et légalement par la mise en œuvre de l'article 50 du traité sur l'union européenne (TUE). Nous voulons sortir de l'euro et retrouver notre souveraineté monétaire. Nous voulons sortir de l'OTAN et remettre la France dans son histoire et sa vocation qui est de porter l'idée de la liberté et de l'émancipation des peuples dans le monde.
Il faut une véritable laïcité ! Qu'est-ce que la laïcité ? Ce principe de vie harmonieuse en société passe par la neutralité. Elle sépare le religieux du politique, pour éviter l’imposition de préceptes religieux à toute une société. Elle garantit également la liberté de culte.
Evitons le laïcisme. Au nom de la séparation du politique et du religieux et de la dimension individuelle de la foi religieuse, les anti-cléricaux refusent toute manifestation religieuse dans la sphère publique, étrangement rejoints par le Front National, qui utilise la laïcité contre l’Islam. Une véritable laïcité accepte l'utilisation par la religion de la sphère publique tant qu'elle ne rejette pas et ne constitue pas de trouble à l'Ordre public.
Respectons les personnes dans leurs différences culturelles, sexuelles, religieuses et incitons à des compréhensions mutuelles. Ne pas cacher mais montrer, expliquer ces différences quitte à assumer des risques de conflit, pour mieux les maîtriser.
Cordialement
Vous engagez vous à porter devant le parlement européen le projet du revenu de base inconditionnel ? Afficher la suite
Si vous ne savez pas ce que c'est que le RBI ou RBU voici une petite vidéo explicative :
http://youtu.be/E9uz_H-8FJ0
Ainsi que le site du francophone pour le RBI :
http://revenudebase.info/ Replier
Monsieur,
je ne crois pas que dans le contexte actuel une proposition sur le revenu de base inconditionnel soit envisageable et ait des chances d’aller plus loin que l’hémicycle du Parlement européen. Il faut être pragmatique.
Personnellement, je porte le projet de « SMIC européen », soit d'un salaire minimum dans chaque État européen. Disposer d’un salaire minimum pour les États européens serait une grande avancée qui permettrait aux salariés des pays les plus pauvres d’augmenter leurs salaires plus rapidement et d’arriver à terme à une convergence des niveaux de revenu. C’est la première étape de la construction d’une Europe véritablement sociale.
Une initiative citoyenne européenne (système de pétition pour qu'une mesure européenne soutenue par des citoyens européens soit examinée, ndlr) en ce sens a été lancée en janvier 2013. Elle disposait d'une année pour recueillir le million de signatures nécessaires pour que la proposition d'instaurer un revenu de base inconditionnel européen soit examinée par la Commission européenne. N'en ayant obtenu que 280 000, elle est devenue caduque. Néanmoins, elle a eu le mérite de soulever des questions intéressantes quant à la mise en œuvre d'une telle mesure, soulignant notamment tout l'intérêt de traiter des questions sociales à l'échelle européenne.
L'Europe sociale est clairement encore insuffisamment développée, les États préférant garder la main sur ce domaine et établir leurs propres politiques. Par ailleurs (ou par voie de conséquence), de grandes différences subsistent entre Etats membres en cette matière, donnant des arguments aux adversaires des avancées européennes en matière sociale.
Pourtant, elle est essentielle pour créer un sentiment d'appartenance et de protection, pour établir des règles du jeu équitables, et elle devient de plus en plus nécessaire dans une Union européenne de plus en plus large et garantissant la liberté de mouvement des travailleurs européens. Nous, candidats de la liste UDI-MoDem Les Européens, plaidons pour un nouveau traité de convergence sociale et fiscale, qui aurait pour but, à terme, d'établir un véritable SMIC européen. Vu les réticences des États membres, c'est loin d'être chose faite. C'est donc là que se situe l'un de nos combats à l'heure actuelle et pour la prochaine législature.
Monsieur,
Les candidats de la liste SO Pirate ont pris la décision de défendre une mesure supplémentaire essentielle à nos yeux et chère à nos valeurs pirates : le revenu de base.
En janvier dernier se terminait une Initiative Citoyenne Européenne (ICE) en faveur du revenu de base. L'objectif était de rassembler en un an un million de signatures en Europe, dont au moins 54 000 en France. Cette ICE avait pour finalité l'instauration d'un débat officiel au niveau de la Commission Européenne et du Parlement sur la possibilité de mettre en œuvre un revenu de base à l'échelle de l'Union Européenne. Malheureusement, l'objectif espéré n'a pas été atteint, mais un mouvement positif international a vu le jour. De nombreux pays européens réfléchissent aujourd'hui à la question et plusieurs initiatives ont émergé, tel que récemment au niveau législatif en Espagne, ou encore en Suisse, où l'initiative populaire a atteint les 100 000 signatures escomptées en octobre dernier, et où les citoyens seront amenés à se prononcer officiellement sur la question.
Nous, Pirates du Sud-Ouest, avons décidé de promouvoir et porter ce débat lors des élections européennes. Nous pensons que le revenu de base est une brique fondamentale de la société Pirate que nous construisons chaque jour.
Je vous invite donc à lire notre article sur notre blog de campagne : http://www.so-pirate.eu/blog/la-liste-so-pirate-introduit-le-revenu-de-base-dans-son-programme-europeen"
Bonjour Monsieur,
La parlement européen a très peu de pouvoir. Les politiques économiques ultralibérales menées dans l'UE sont inscrites dans le marbre des traités (TFUE et TUE). Ces traité ne peuvent être révisés qu'à l'unanimité. C'est mathématiquement impossible. Sur notre site (upr.fr), tout est expliqué.
Le SEUL moyen d'avoir des politiques sociales est de sortir de l'UE par l'article 50 du TUE. Ensuite nous proposons d'appliquer le programme du CNR de 1944 intitulé "Les jours heureux" que nous avons réactualisé. C'est un programme social (lire sur votre sujet le point n°11).
Toute heure travaillée doit être rémunérée, tout travail supplémentaire doit se traduire par un gain de revenu, les prestations sociales doivent diminuer moins que proportionnellement à l’augmentation des revenus du travail.
Le coût du travail ne doit pas décourager pas l'employeur d'embaucher, l'employé doit avoir un niveau de vie acceptable.
Sans réduire les montants distribués, nous proposons en France de simplifier radicalement le système d’aides et de supprimer ses effets pervers. Les aides existantes sont fusionnées au sein d’une aide multi-critères. L’aide maximale est plafonnée pour maintenir une incitation positive à travailler correspondant au moins à 35 % : pour chaque euro gagné, les revenus nets de la personne augmentent d’au moins 35 centimes.
Une partie de l’aide (environ un tiers) est conditionnée à l’implication de la personne dans son projet.
Une initiative citoyenne européenne dans le sens d’un revenu de base inconditionnel a été lancée en janvier 2013, mais a échoué à rassembler en un an le million de signatures nécessaires pour que cette proposition soit examinée par la Commission européenne. Il me semble important de se positionner sur ce sujet, pour une société qui ne laisse pas au bord de la route les exclus.
Monsieur,
Je suis favorable à une politique du vélo au niveau européen.
Il est en effet important de prendre des mesures en faveur de plans régionaux pour l'aménagement et l'élargissement des réseaux cyclistes dans les grandes régions européennes, notamment afin de responsabiliser les citoyens aux enjeux environnementaux et de démocratiser l'usage du vélo ; de réduire le bruit, la congestion et la pollution urbaine.
Il ne s'agirait pas de créer un "cadre règlementaire européen" contraignant pour obliger les collectivités et les États membres à mettre en place des plans d'action, mais plutôt d'augmenter les financements de l'UE pour les initiatives liées à la promotion du vélo.
Cordialement, Virginie Rozière