

Nous vous invitons à poser une question claire et concise (150 caractères) que vous pouvez ensuite compléter si vous le souhaitez (600 caractères)
Une fois validée par l'équipe de modération, votre question sera envoyée au(x) candidat(s) que vous avez sélectionné(s) et apparaitra sur le site avec votre prénom/nom.
Si vous posez la question au nom d'une personne morale ou d'un collectif, nous vous remercions de l'indiquer à la fin de votre message.
Règles de modérationQue pensez-vous de la directive secret des affaires discutée au Parlement Européen et des impacts qu’elle aura sur l’accès à l’information des citoyens ? Allez-vous voter en faveur de ce texte ?
Que proposez-vous pour que l'Europe dispose d'une politique étrangère commune et indépendante, id est non alignée sur celle des USA (ex: Ukraine)?
Pouvez-vous m'expliquer en quoi il est nécessaire de voter le 25 mai ? Sachant qu'il n'y a pas de président de l'Europe élu au suffrage universel direct par les électeurs européens ni de Gouvernement Européen issu du groupe majoritaire, et que le Parlement n'a pas l'initiative des lois.
Mme Marchand,
A l'heure où de plus en plus de Français doutent de leurs représentants à tous les niveaux, un désintérêt de nos concitoyens pour la Politique est à craindre. Tous ceux qui tiennent à notre système démocratique, et bien évidemment en premier lieu les responsables politiques, doivent lutter contre cette tendance néfaste. Je tiens donc à vous remercier pour cette question qui contribue à maintenir le dialogue démocratique dont notre pays a tant besoin.
Vos critiques à l'encontre du système politique européen, je les partage. Nous les Européens UDI-Modem , nous militons pour l'élection au suffrage universel d'un président de l'Union européenne et pour un renforcement des pouvoirs du Parlement européen, comprenant un droit d'initiative parlementaire. Toutes ces propositions font partie de notre projet .
Toutefois, ces prochaines élections européennes comportent une avancée importante vers une Union européenne plus transparente et démocratique que nous appelons de nos vœux. Les chefs d'États et de gouvernement au Conseil doivent dorénavant prendre en compte le résultat de ces élections dans la désignation du futur président de la Commission européenne. Nous espérons très sincèrement qu'ils respecteront l'esprit des textes et nommeront l'un des cinq candidats des partis européens à la tête de l'exécutif de l'Union européenne.
Au-delà de la signification particulièrement importante du scrutin du 25 mai , le Parlement est l'une des deux institutions représentatives de l'Union européenne. Il est le représentant des peuples européens aux côtés du Conseil qui est l'émanation des États. Ainsi, le Parlement est le meilleur relai offert aux citoyens européens pour peser sur les décisions communautaires.
Au fur et à mesure de la construction européenne, le Parlement n'a cessé de renforcer ses pouvoirs. Le traité de Lisbonne, entré en vigueur en 2009, lui permet d'être colégislateur à part entière avec le Conseil sur la plupart des domaines de compétence européenne. Le Parlement vote aussi le budget et ratifie les accords internationaux passés entre l'Union et des pays tiers.
En outre, si le Parlement européen ne bénéficie pas au même titre que le Parlement français du pouvoir de proposer des lois, il peut faire des rapports d'initiative, qui visent à attirer l'attention de la Commission sur un sujet donné et à améliorer la législation européenne ou l'action de l'Europe dans le domaine concerné. Dans le cadre de cette mandature, j'ai par exemple rédigé un rapport d'initiative sur les relations entre l'Union européenne et la Chine ("L'UE et la Chine: un déséquilibre commercial?"). Adopté par le Parlement en Mai 2012 il dresse un certain nombre de recommandations, que la Commission est tenue de prendre en compte dans le cadre des relations UE-Chine et énonce les priorités du Parlement vis à vis de la Chine. Ce qui, même si cela n'a pas force de loi, est tout de même très important. En effet, étant donné que le Parlement ratifie les accords commerciaux négociés par la Commission, il pourra à ce moment-là vérifier que cette dernière a bien pris en compte ses demandes.
Le Parlement peut aussi adopter des résolutions législatives des groupes politiques sur tout sujet dont il souhaite se saisir. Par exemple, le Parlement a adopté nombre de résolutions sur la situation en Ukraine. Cela lui permet d'apporter soutien et visibilité à une cause donnée, mais aussi d'établir une position diplomatique pour une institution qui ne représente pas moins de 500 millions d'habitants dans le monde. N'oublions pas que le Parlement européen est l'institution élue démocratiquement qui représente le plus de personnes au monde, après le Parlement indien (1, 2 milliards).
S'il y a une institution de l'Union qui est à l'image de la société européenne, c'est le Parlement. Il est donc d'une importance capitale que tous les citoyens français et européens participent activement à élire des hommes et des femmes à même de les représenter activement à Bruxelles et à Strasbourg.
Je vous prie d'agréer madame, l'expression de ma considération la plus sincère.
Bonjour
Oui, il est indispensable de voter pour des députés qui VOUS représentent. sinon vous le serez par ceux que VOUS ne voulez pas.oui, nous n’élisons pas le Président et n’avons pas l’initiative; mais nous avons le pouvoir de modifier et rejeter les textes , de contrôler la Commission et les Agences , de mettre un véto sur les commissaires etc e renverser la Commission. encore faut il une volonté politique
Cordialement
Nous sommes bien d'accord que la démocratie n'est pas encore atteinte en Europe. Les décisions sont encore prises par des instances qui ne sont pas élues. Faut-il s'abstenir pour autant ?
La démocratie ne se construit pas en un jour. Il faut soutenir l'unique instance démocratiquement élue, le Parlement européen, dont les pouvoirs ont augmenté grâce au traité de Lisbonne. Plus la participation aux élections européennes du 25 mai sera importante, plus grande sera la légitimité des députés élus, et plus forte leur position pour agir. N'oubliez pas par exemple que le traité transatlantique ne pourra pas entrer en vigueur si le nouveau parlement s'y oppose, c'est là un véritable pouvoir que détient le parlement.
Notre parti Europe Démocratie Espéranto veut une Europe plus démocratique, et propose la langue espéranto comme moyen de mettre en place une véritable démocratie accessible à chacun.
Voir notre programme en ligne
Bonjour Céline,
Vous le constatez vous-même, l'Europe est antidémocratique. Si vous êtes insatisfaite de l'Union européenne, je vous invite à voter en faveur du seul mouvement qui propose d'en sortir : l'UPR.
Il est capital que les citoyens tels que vous, lucides sur la nature dictatoriale de l'Union européenne, joignent leurs forces aux notres pour en finir avec la mascarade que vous dénoncez.
Pourquoi s'abstenir lorsque l'on peut voter, grâce à l'UPR, contre le principe même de l'Union européenne ? S'abstenir, c'est donner carte blanche aux européistes pour aggraver encore l'assujettissement des nations et rendre plus légitime l'idée chère aux technocrates que l'Europe se construirait finalement mieux sans consulter les peuples.
L’Union fait la paix, l’Union fait la force ! Voter pour Nous Citoyens ce n’est pas voter pour des idéologies, pour sortir de l’euro, mais pour faire fonctionner l’Europe, à sa juste place. Je me présente pour accomplir la mission de député européen à temps plein, sans cumuler ou en attendant mieux comme les recalés de la politique. Nous Citoyens, c’est l’alternative positive aux partis extrêmes
Le projet européen est au milieu du gué. Les responsables en sont notamment nos dirigeants politiques, qui font de Bruxelles le bouc émissaire de tous nos maux et y envoient trop souvent les recalés de la politique nationale. L’Europe mérite mieux qu’un paquet de normes illisibles et de dirigeants politiques désabusés. Nous voulons retrouver le sens commun. L’Europe à sa juste place n’est pas un problème : elle est une solution pour surmonter les crises et tracer un chemin d’avenir.
Je m'engage à me consacrer pleinement et exclusivement à mon mandat de députée européenne si je suis élue. Ce mandat ne sera pas pour moi accessoire. Je servirai et défendrai les intérêts de la France et de l’Europe, pour finir ce qui a été commencé, pour avoir enfin une Europe qui fonctionne avec des bénéfices visibles pour tous les Français dans leur vie quotidienne.
Une Europe qui fonctionne, c'est notamment une Europe avec un visage, avec un Président unique de l'Union, élu, qui rende compte aux citoyens européens des décisions européennes.
En attendant, c'est un Président de la Commission européenne choisi véritablement en fonction des résultats des élections européennes du 25 mai et non selon le plus petit dénominateur commun, en catimini au sein du Conseil. Cette exigence démocratique est inscrite dans les traités européens, elle doit être respectée. Nous proposons par ailleurs que la Commission s'engage à agir pour mettre en œuvre l'ensemble des propositions législatives votées à la majorité des députés européens : c'est un exemple de mesure concrète, applicable dès le lendemain des élections européenne, sans attendre une complexe et longue révision des traités.
En matière de démocratie européenne, on peut mieux faire. Le Parlement, seule institution européenne élue au suffrage universel direct, a vu ses pouvoirs considérablement renforcés au cours des dernières années, votant les textes de loi européens, s'opposant à des accords mettant potentiellement en danger les données personnelles des citoyens européens, etc.
Pour aller plus loin, Nous Citoyens propose des candidats compétents, prêts à s'engager pleinement et exclusivement à agir au niveau européen pour servir la France et l'Europe.
Nous proposons par exemple que la Commission s'engage à agir pour mettre en œuvre l'ensemble des propositions législatives votées à la majorité des députés européens, ce qu'elle n'est pas obligée de faire aujourd'hui. C'est un exemple de mesure concrète, applicable dès le lendemain des élections européenne, sans attendre une complexe et longue révision des traités - même si je considère qu'un vrai droit d'initiative législative du Parlement européen est nécessaire à terme.
Bonjour,
Votre question est amusante...
Les institutions européennes sont ce qu'elles sont et il s'agirait de redéfinir démocratiquement celles-ci.
Il n'est pas sûr que le bon modèle à suivre soit l'élection au suffrage universel direct d'un président pour l'Europe.
Enfin, vous fallait-il quelques bonnes raisons pour voter le 25 mai, en utilisant dans le secret de l'isoloir le seul vote qui permettait de mettre la situation au clair d'un point de vue de l'opinion exprimée, plus que dans le score, dire "stop la prohibition".
Cette réponse à posteriori pour remarquer que votre critique est largement partager par l'électorat... abstentionniste !
Bien cordialement,
Bonjour,
La construction et l'intégration de l'Europe a été un long processus et le reste encore. Votez le 25 Mai 2014 et vous contribuez déjà à désigner le prochain président de la Commission européenne. Un processus qui menera certainement avec le temps à l'élection présidentielle européenne.
Elections européennes du 25 Mai 2014, LISTE: "ensemble pour une Europe équitable"
www.ensemblepouruneeuropeequitable.com
Que pensez-vous de l'article 104 du traité de Maastricht, n'est il pas trop limitant, compte tenu des enjeux actuels ? Afficher la suite
L’article 123 reprend l’article 104 du traité de Maastricht, également identique à l’article 181 du traité constitutionnel européen. « Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres. L’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. » Replier
Je trouve tout à fait anormal que les Etats doivent passer obligatoirement par les établissements privés pour emprunter des sommes qui sont prêtées à des taux inférieurs par la BCE. Si la lutte contre l’inflation est un impératif, elle ne justifie pas ce mécanisme.
Mais il faut être réaliste. La modification des Traités qui serait un préalable au changement de cette règle que tous les Etats ne souhaiteraient sans doute pas, n’est pas pour demain.
En conséquence, il est nécessaire de trouver des mécanismes qui favorisent le développement économique et partant la création monétaire. Le FMI lui-même y invite la BCE. De plus le recours aux eurobonds ou assimilés permettrait de redonner un peu d’oxygène aux Etats qui en ont besoin.
Bonjour,
Je ne suis pas un économiste chevronné.. loin s'en faut. Toutefois et si j'ai bien compris l'article 104 du Traité de Maastricht devenu l'article 123 du traité de Lisbonne contraint les pays à emprunter auprès d'établissements financiers privés à des taux d'intérêts supérieurs à ce qu'ils pouvaient faire (puisque les états n'étaient pas contraints de payer des intérêts)...
En tant que "citoyens"... payant des impôts et contribuant donc à réduire la dette... je trouve que c'est une rare ineptie!
Cet aspect des choses mériterait plus de publicité auprès des citoyens... et surtout une explication de texte solide pour que nous comprenions cette évolution qui nous coûte fort cher!
Cordialement
Pour répondre brièvement : en effet cet article est trop limitant et l’Europe se prive ainsi d’instruments monétaires pour organiser la relance de l’économie.
Cette décision de l’Europe est à comprendre au regard de son histoire et notamment de son traumatisme inflationniste des années 20 en Allemagne.
D’où l’objectif européen de stabilité monétaire. Mais l’arbitrage entre stabilité et dette est en réalité contextuel et ériger comme loi le principe de stabilité est inefficace dans des temps comme les nôtres où nous avons besoin de souplesse pour faire repartir l’économie. Il faut laisser libre le choix de la dette, au moins de manière ponctuelle, quand le contexte économique le requière.
Le Parti Federaliste Européen est pour la suppression de l'article 104 du traite de Maastricht.
http://blog.lesfederalistes.eu/
Le programme d'EDE ne couvre pas tout le champ politique et n'a pas vocation à le faire.
Nous ne cherchons pas à avoir un avis sur tout et nous ne proposons pas une réponse à chaque problème. Nous souhaitons proposer un moyen, la langue espéranto, pour que les citoyens européens dialoguent et construisent ensemble leurs réponses aux problèmes.
Consultez notre programme en ligne
Monsieur,
Cette obligation faite aux États membres d'emprunter sur les marchés financiers auprès d'établissements privés contribue terriblement à l'alourdissement du poids de notre dette. Cet article est d’autant plus scandaleux qu’il met la France aux mains de créanciers privés, ce qui nuit gravement à sa souveraineté.
C'est la raison pour laquelle nous prévoyons, une fois que la France sera sortie de l'Union européenne et donc libérée des traités européens, de rétablir la banque de France dans ses prérogatives d'utilité publique en l’autorisant de nouveau à prêter directement à l'État et aux collectivités moyennant des taux d’intérêt qui seraient faibles ou nuls. C’est la seule façon de casser la spirale infernale de notre endettement.
Plutôt que de chercher des solutions pour nous endetter, si nous cherchions des solutions pour faire mieux en dépensant moins ?
Nous pouvons réduire notre dépense publique de 200 milliards d'euros, réduire le niveau des prélèvements obligatoires au niveau de la moyenne européenne (de 46 % du PIB à 40 %).
Nous Citoyens fera prochainement des propositions concrètes en ce sens, soumises au débat avec les adhérents : je vous invite à consulter régulièrement notre site www.nouscitoyens.fr.
Pour sauver les banques, la Banque Centrale Européenne (BCE) a mis 1000 milliards d’euros sur la table. Aux États-Unis, la réserve fédérale a prêté aux banques en difficulté la somme de 1200 milliards de dollars au taux incroyable de 0,01% ! Certes, la BCE n'est pas autorisée à prêter aux États-membres.
Mais elle peut prêter aux organismes publics de crédit (article 21.3 du statut du système européen des banques centrales) et aux organisations internationales (article 23 du même statut). Elle peut donc prêter au taux de 1% à la Banque européenne d'investissement (BEI) ou à la Caisse des dépôts qui, à leur tour, pourront prêter au taux de 1,1% aux États pour le refinancement de leur vieille dette.
Plusieurs dizaines de milliards d’euros seront économisés chaque année, représentant autant d’efforts qui ne seront plus demandés aux citoyens, au détriment des services publics et sociaux.
Pourquoi ne pas avoir un seul gouvernement à Bruxelles au lieu de 28 ? Cela permettrait de rationnaliser la gouvernance de l'Union Européenne.
Même si les Etats unis d’Europe existaient , il resterait des gouvernements des Etats.
L’Europe n’est pas aujourd’hui une fédération à peine une confédération. il faut donc progresser pour accroitre les compétences mises en commun. c’est la raison pour laquelle nous proposons un coeur d’Europe qui pourrait servir de locomotive à l’Europe.
Cordialement
Bonjour Henri,
C'est tout à fait ce que propose le Parti européen. Un chef de gouvernement, un gouvernement fédéral. Des économies d'échelles, un ensemble culturel multiple, l'éducation en commun, etc.
Cordialement
Pourquoi pas en effet ? Mais est-ce le souhait des européens ?
Aujourd'hui la démocratie est en panne dans l'Union Européenne. Les citoyens se sentent dépossédés des décisions. Il faut remettre les citoyens au coeur de la vie politique européenne. C'est au citoyens de décider quelle Europe ils veulent.
Pour en parler ensemble, il faut pouvoir se comprendre. Pour cela nous proposons une langue accessible à tous, l'espéranto.
Voir notre programme en ligne
Bonjour Henri,
C'est là l'ambition des partisans d'une Union Européenne jacobine qui centraliserait tous les pouvoirs, avec un gouvernement unique, sur le modèle d'une Commission européenne qui aurait définitivement dépossédé nos Etats de leur souveraineté.
Je suis, pour ma part, complètement opposé à cette volonté politique. L'avènement d'une Commission européenne toute-puissante a définitivement consacré le règne de la technocratie, coupée du réel et de l'intérêt de nos peuples. Un gouvernement européen ne changerait donc rien à cela si ce n'est continuer dans la mauvaise direction qui est celle de la construction européenne depuis déjà trop d'années.
A rebours de ces choix politiques et du conformisme européiste, nous avons pour volonté de bâtir une autre Europe, en s'inspirant de ce qui a pu faire le succès de notre continent dans le passé en matière de coopération comme ce fut le cas des grands projets industriels Ariane et Airbus.
Bien à vous,
Nous proposons de renforcer la gouvernance notamment de la zone euro, avec un Vice-président de la Commission européenne chargé des politiques de croissance, dont l'action serait contrôlée par une assemblée parlementaire de la zone euro, dotée d'un budget spécifique.
Néanmoins le fédéralisme est un concept flou qui ne signifie pas la même chose pour un Français ou pour un Allemand. Ma démarche et celle de Nous Citoyens est pragmatique, à la recherche des bonnes idées et des bons projets.
Nous ne voulons pas plus ou moins d’Europe, nous voulons que le travail initié pour mutualiser un certain nombre de politiques soit enfin finalisé pour faire fonctionner l'Europe, à sa juste place.
Êtes vous favorable à un assouplissement de la politique européenne des stupéfiants tel que souhaité par les précédentes législatures ? Afficher la suite
En tant que candidat aux élections au Parlement Européen en mai 2014, je déclare apporter pleinement mon soutien aux recommandations au Conseil Européen suivantes, issues du rapport Catania, approuvées par le P.E en décembre 2004 mais jamais mises en pratique : goo.gl/IVM8po
Une fois élu(e) au P.E, je rappellerai régulièrement aux autorités de l’UE ses manquements à l’application de ces recommandations votées il y a presque dix ans. Vous pourrez me demander des comptes rendus sur mes efforts pour attirer l’attention de mes collègues à chaque fois que s'en présentera l'occasion. Replier
Bonjour Kenzi, Nous sommes pour la possibilité immédiate d'utiliser les produits qui peuvent apporter un soulagement thérapeutique pour les personnes qui souffrent de pathologies pour lesquelles il n'existerait aucune autre substance utilisable, comme le THC du cannabis pour la sclérose en plaque, les effets des chimiothérapie et des tri thérapies. Pour ce qui est de l'usage "récréatif" des produits psycho stimulants, dépresseurs et ou perturbateurs, je pense que la prévention des pathologies pouvant pousser à les consommer devrait être une priorité. Nul besoin de produits si l'on est "bien" et si on ne l'est pas, il faut pouvoir gratuitement recevoir l'aide nécessaire afin de ne pas avoir un utiliser une "béquille" quelle qu'elle soit ! Les effets à courts, moyen et long termes des produits dit stupéfiants sont dévastateurs. Cordialement
Bonjour,
Notre parti Europe Démocratie Espéranto ne traite pas des questions de société. Nous voulons permettre aux citoyens d'Europe de dialoguer ensemble et de prendre les décisions.
La langue espéranto est l'outil que nous proposons pour cela.
Voir notre programme en ligne
Bonjour,
Je suis absolument opposé à toute évolution qui irait dans le sens d'un assouplissement et de la libéralisation des stupéfiants.
Nous vivons aujourd'hui dans une société de plus en plus violente, un phénomène qui est couplée d'une crise économique et sociale violente et d'une crise identitaire. Cette addition de phénomènes conduisent de plus en plus de nos compatriotes à l'isolement, voire l'anomie. Il serait donc d'autant plus criminel de légiférer dans ce sens et de rendre l'accès aux drogues plus facile. Ce serait également un signal très fort de laxisme envoyé à ceux qui vivent du commerce de stupéfiants, et qui tenteront de vendre des drogues toujours plus fortes.
Bien à vous,
La priorité est de rassembler les Français autour d’un projet de réformes de notre pays et de l’Europe compte tenu de la gravité de la crise économique et sociale et de la fracture qu’elle provoque.
Les problématiques sociétales ne sont pas du ressort de l’Union européenne : elles doivent être traitées dans chaque pays, dans un climat apaisé.
Nous prônons une démarche fondée sur la consultation des citoyens et le débat public afin de dégager un consensus.
Bonjour Kenzi,
Merci pour cette question, en effet, il serait temps que la Commission européenne et le Conseil européen se décide de mettre en application les recommandations votées par le Parlement européen, il y a dix ans. J'ai été lé premier signataire français de cet appel d'ENCOD.
J'aimerai donner une réponse plus complète, mais pour que je devienne le député "d'ENCOD" portant ce manifeste, il faudrait que 650 000 personnes votent le 24-25 mai 2014 avec le bulletin de vote "Cannabis Sans frontières - Stop la prohibition", téléchargeable et imprimable sur http://cannabissansfrontieres.org
Bien cordialement,
Que pensez-vous du "Bonheur national brut" (BNB) ? Ne devrait-on pas le prendre en compte avant même le PIB et le PNB ? Afficher la suite
Cf le Bhoutan. Replier
Notre parti Europe Démocratie Espéranto ne traite pas des questions économiques ni des questions de société. Nous voulons permettre aux citoyens d'Europe de dialoguer ensemble et de prendre les décisions.
C'est à vous tous de prendre les décisions stratégiques et de construire l'avenir que vous voulez, pour vous et pour les futures générations. La langue espéranto est l'outil que nous proposons pour cela. L'espéranto est plus qu'une langue, il s'inspire d'un idéal humaniste, basé sur le respect de l'autre et la recherche de relations harmonieuses et équilibrées.
Voir notre programme en ligne
Bonjour
Une donnée est concrète, palpable pour chacun de nous, citoyens, dans notre vie de tous les jours : l'emploi.
Nous devons tout faire pour libérer l'emploi en libérant l'entreprise et l'initiative !
Bonjour,
Merci pour votre message et votre intérêt. Cette proposition est plus poétique que politique. Très sincèrement, je ne suis pas sûr que le Bhutan soit un pays modèle.
Cependant il serait plus intéressant d'oeuvrer à la démocratie directe, la démocratie écologique conviviale.Enfin, notre message est d'instaurer la paix des drogues.
Bien cordialement,
Si vous êtes élu(e), vous engagez-vous à mener une action afin de simplifier les procédures d’accès aux fonds européens pour les associations. Afficher la suite
Pour la politique vis-à-vis des associations :
vous engagerez-vous à mener une action afin de simplifier les procédures d’accès aux fonds européens pour les associations, « moyennes et petites » notamment ?
Vous engagerez-vous à réunir au moins deux « Agoras » par an sur des sujets d’intérêt général ? Replier
je suis par définition favorable à tout ce qui peut faciliter la vie des associations.
J’ai présidé plusieurs associations , suis encore administratrice de certaines d’entre elles et comprends donc parfaitement les problèmes;
mais je suis très honnête et refuse les fausses promesses.. un député ne peut guère agir dans la mesure où les subventions dépendent de la Commission et de ses règles internes.
Je ne puis donc m’engager sur ce point;
en revanche, je soutiendrai toutes les mesures favorisant la vie des associations;
Notre parti Europe Démocratie Espéranto ne cherche pas à couvrir tout le périmètre de l'action politique. Nous ne recherchons pas le pouvoir. Nous sommes des lanceurs d'alerte et nous voulons sensibiliser l'opinion aux problèmes linguistiques.
Pour cette raison, nous n'avons pas de position sur votre question, même si nous soutenons bien évidemment les nombreuses associations qui promeuvent l'espéranto en France et en Europe. Sur cette question comme sur les autres, nous souhaitons que les la société civile participe aux processus de décision.
Pour permettre cette participation, et le dialogue entre les citoyens et les associations de toute l'Europe, il faut une langue commune. Nous proposons l'espéranto, qui est 10 fois plus facile que les autres langues et qui met tout le monde à égalité.
Voir notre programme en ligne
Nous Citoyens, c'est la volonté de redonner confiance à la société civile, aux citoyen, aux associations, aux ONG ! Par exemple notre pays a dépensé 40 milliards d’euros en 2013 pour lutter contre l’exclusion, mais à l’évidence, cela ne marche malheureusement pas.
Faut-il pour autant dépenser plus ? Non : l’Etat gère tout, mais mal. Faisons confiance aux professionnels de l’aide, aux associations, aux ONG… pour lutter efficacement contre l’exclusion.
Simplifier les procédures d'accès aux fonds européens est un axe important : la France ne doit pas rajouter des règles inutiles, et cesser d'asphyxier les acteurs français de la société civile. Nous proposons notamment de fusionner l’ensemble des dispositifs d’accompagnement au sein d’un réseau d’agences de proximité. Ces agences permettront l’accueil des personnes, des associations, des entreprises et le pilotage d’actions de terrain tout en réduisant le coût pour la collectivité par suppression des doublons administratifs.
Nous sommes convaincus que le changement peut commencer dès maintenant sans avoir à attendre une inflexion de l’action de l’Etat, même si l’impact de notre action sera dans un premier temps plus limité. Nous pensons que les citoyens peuvent reprendre en main leur destin dès maintenant, en particulier en matière de lutte contre l’exclusion.
Nous Citoyens a lancé un appel à projets en matière de lutte contre l'exclusion qui s’inscrit dans une démarche innovante et pragmatique puisque les projets seront examinés à travers le prisme de l’efficacité « coûts / impacts » : pour plus d'informations, et pourquoi pas, faire postuler vos projets : http://www.nouscitoyens.fr/actions/appel-a-projet-lutte-contre-lexclusion/.
Que pensez-vous de construire des Etats-Unis d'Europe comme le sont les Etats-Unis d'Amérique ? Est-ce cela le Fédéralisme ?
Bonour,
Les Etats Unis d’Europe sont une fédération d’Etats. Nous y parviendrons peut être un jour ; en l’état, le fédéralisme à 28 est une vue de l’esprit. C’est la raison pour laquelle nous proposons une locomotive pour l’Europe, Cœur d’Europe , qui réunisse des pays volontaires pour aller vers une intégration en commençant avec l’harmonisation fiscale et sociale
Cordialement
Bonjour Estelle,
Le Parti européen défend en effet l'idée d'un seul pays L'Europe, avec des états et surtout des régions qui sont le niveau le plus approprié pour gérer le quotidien. Une armée commune, une justice fédérale et un niveau de vie le plus haut pour tous, tout en faisant en sorte que les pays émergents puissent également, à l'occasion de programme de coopération également régionaux se hisser sur le terme à de meilleurs standards de vie.
Cordialement
Bonjour,
Le fédéralisme américain est insatisfaisant: la législation y est différente dans chaque Etat et cela a de véritables conséquences sociales, économiques… Par exemple, une entreprise viticole qui a réussi à obtenir une licence pour vendre son vin dans l’Etat du New Hampshire ne pourra pas le vendre dans l’Etat voisin du Massachusetts sans refaire à nouveau des démarches administratives fastidieuses.
Ce n’est donc pas un exemple, au Parti Pirate nous voulons une Europe réellement unie avec une législation commune pour faciliter les échanges, qu’ils soient économiques, culturels ou humains.
Cordialement
Créé en 2003, Europe Démocratie Espéranto est une fédération européenne de partis nationaux. Notre parti s'engage résolument en faveur de la construction européenne. Nous souhaitons que le fonctionnement des institutions européennes soit profondément refondu, vers plus de démocratie.
En particulier nous voulons que les citoyens participent aux processus de décision. C'est aux citoyens de décider s'ils souhaitent ou non évoluer vers une Europe fédérale.
Pour permettre cette participation, et le dialogue entre tous les citoyens, il faut une langue commune. Nous proposons l'espéranto, qui est 10 fois plus facile que les autres langues et qui met tout le monde à égalité.
Voir notre programme en ligne
Bonjour
Le parti que j'ai créé, l'Union populaire républicaine, est résolument opposé à un tel projet.
Nous souhaitons au contraire sortir la France de l'Union européenne par l'application de l'article 50 du TUE. Car ces « États-Unis d'Europe », que des dirigeants non-élus appellent tous de leur vœux, loin d'être une fédération démocratique, ne pourraient être, à l'image de ce qu'est déjà l'Union européenne, qu'une construction impérialiste imposée de l'extérieur à des peuples qui n'y consentent pas.
L'UPR est en effet le seul parti politique a révéler aux Français que la prétendue « construction européenne » est en réalité depuis le début pilotée par les États-Unis d'Amérique, dans l'objectif de renforcer leur influence dans le monde. Par conséquent, l'idée de créer des « États-Unis d'Europe » est le plus sûr moyen d'accroître la puissance des États-Unis… d'Amérique.
J'ajoute que cette analyse est largement confortée par l'étude de l'histoire de l'Europe, qui nous prouve à l'envi que les tentatives antérieures d'« unification » et de « pacification » de ce continent ont toutes procédé d'ambitions impériales (depuis Rome et Charlemagne jusqu'à Napoléon et Hitler).
Permettez-moi, je vous prie, de vous renvoyer à ce sujet aux conférences que j'ai faites, que vous trouverez sur le site de l'UPR, ainsi qu'à cet article plus spécifiquement consacré à la face cachée de la vieille idée des « États-Unis d'Europe » http://www.upr.fr/dossiers-de-fond/victor-hugo-et-l-europe.
Le fédéralisme est un concept flou qui ne signifie pas la même chose pour un Français ou pour un Allemand.
Ma démarche et celle de Nous Citoyens est pragmatique, à la recherche des bonnes idées et des bons projets.
Nous ne voulons pas plus ou moins d’Europe, nous voulons que le travail initié pour mutualiser un certain nombre de politiques soit enfin finalisé pour faire fonctionner l'Europe, à sa juste place.
Bonsoir,
les nations européennes sont de vieux (comprendre : anciens) pays, composés de peuples différents, avec des langues différentes, des cultures différentes, bien que leur Histoire commune (souvent faite de conflits), leurs racines chrétiennes, leur environnement, les rapproche bien évidemment.
L'Europe ne peut pas être une nation. L'Europe est constituée de nations souveraines, et qui doivent le rester.
Les hommes politiques ne perçoivent-ils pas déjà le grondement des peuples que l'on voudrait "assimiler", à l'américaine, alors que le phénomène régional s'affirme au contraire ?
Les Américains ont un jour quittés l'Europe, pour coloniser une terre nouvelle. Ils ont ensemble défriché, cultivé, créé un nouveau territoire.
Ce modèle ne peut pas, ne doit pas s'exporter en Europe qui elle, est riche de ses différences.
Cordialement,
Que pensez-vous des prêts de la BCE aux banques, par exemple de 1 000 milliards d’euros, à 1 % que ces banques reprêtent aux Etats à 3 ou 6% empochant au passage 40 à 60 milliards sur le dos des contribuables ?
Bonjour,
Je pense la même chose que vous.
C’est profondément injuste et inefficace sur le plan économique. Sans changer le statut de la BCE , qui nécessite un accord des 28, elle pourrait avoir une politique différente dans le cadre de sa mission. Il n’ y a aucun risque d’inflation et par voie de conséquence elle doit favoriser la croissance et donc l’investissement.
Cordialement
Bonjour Lucien,
Bien évidemment comme tout contribuable je serais partisan d'un prêt à un taux plus intéressant pour les Etats, sachant qu'il s'agit de redresser les économies nationales de manière urgente. De la part des établissements financiers, il s'agit d'une vision court termiste navrante pour l'équilibre du monde !
Cordialement
Bonjour,
La BCE devrait en effet prêter directement aux Etats. Rien ne justifie cette étape supplémentaire, à part le financement public des banques privées qui ont déjà suffisamment profité de nos impôts !
Le secteur banquier est un secteur sensible car il est facteur d’accélération et de dispersion des crises économiques et c’est pour cela que les banques en difficulté ont été renflouées par les fonds publics. Si ce genre de mesures peut être envisagé de manière extrêmement occasionnelle et sous certaines conditions (comme celle du remboursement…), il n’est absolument pas compréhensible que nous enrichissions le secteur bancaire privé de manière récurrente…
Le Parti Pirate ne veut pas voir le secteur privé empiéter sur la vie publique et se servir de manière opaque des impôts des citoyens.
Cordialement,
Notre parti Europe Démocratie Espéranto ne souhaite pas traiter les questions économiques.
Notre objectif n'est pas la conquête du pouvoir, nous sommes des lanceurs d'alerte. Nous attirons l'attention sur la fracture linguistique et la discrimination basée sur la langue.
Nous proposons la langue espéranto comme langue commune en Europe, pour permettre une communication facile pour tous les citoyens.
Bonjour Lucien,
C'est un mécanisme dogmatique, qui repose sur une allégeance absolue aux banques privées et marchés financiers et sur un dogme qui oblige l'Etat à délaisser progressivement sa souveraineté monétaire au profit de technocrates. Les intérêts de la dette sont aujourd'hui le plus gros poste des dépenses de fonctionnement de l'Etat et notre mouvement ne cesse de le rappeler.
Ce mode de fonctionnement découle directement de l’article 123 du Traité de Lisbonne – ex article 104 du Traité de Maastricht. Cela nécessite donc, comme nous l'appelons de nos voeux, une renégociation des traités européens dans leur fondement et des dispositions de ce type qui aliènent notre capacité à être maître de notre destin.
Bien à vous,
Plutôt que de chercher des solutions pour nous endetter, si nous cherchions des solutions pour faire mieux en dépensant moins ?
Nous pouvons réduire notre dépense publique de 200 milliards d'euros, réduire le niveau des prélèvements obligatoires au niveau de la moyenne européenne (de 46 % du PIB à 40 %).
Nous Citoyens fera prochainement des propositions concrètes en ce sens, soumises au débat avec les adhérents : je vous invite à consulter régulièrement notre site www.nouscitoyens.fr.
Madame,
Vous avez interpellé les députés européens à propos de la directive « Secret des affaires ». Nous vous remercions de votre vigilance sur les travaux du Parlement européen et vous félicitons du succès de la pétition que vous avez lancée. Une telle démarche fait vivre la démocratie européenne sur les grands sujets qui concernent l’ensemble des citoyens.
La délégation socialiste française partage totalement votre objectif : protéger les journalistes, leurs sources, les ONG et les lanceurs d’alerte, ainsi que l’information des citoyens.
Plutôt que de rejeter ce projet, les eurodéputé-e-s socialistes et radicaux sont mobilisés depuis le début pour en faire une directive de protection effective des journalistes et de leurs sources. En effet, nous savons qu’il y a encore en Europe des journalistes menacés, ainsi que leurs sources. Pensons à la Hongrie… ; c’est aussi avec leur situation en tête que nous menons notre travail de réécriture du texte.
Bien sûr, nous devons protéger l’innovation et le savoir-faire de nos entreprises : Airbus ou Michelin ne doivent pas pouvoir être espionnées par leurs concurrents, cela nul ne le conteste ! Mais les intérêts économiques, quand ils se matérialisent par des pratiques malhonnêtes et/ou contestables, ne doivent jamais primer sur l’intérêt général.
Les lanceurs d’alerte, les journalistes, les ONG ou encore les représentants du personnel doivent être protégés. Ils sont les gardes fous de la démocratie.
C’est le sens de notre engagement. Pour nous, la liberté d’expression doit l’emporter.
Lors du vote en commission parlementaire, nous avons arraché de nombreuses avancées et considérablement amélioré le texte proposé par la rapporteure Constance Le Grip (PPE-Les Républicains, FR), dont nous estimions la version initiale liberticide.
Nous avons obtenu la garantie d’une protection juridique pour tous ceux qui se battent pour révéler des pratiques contestables, ou illégales des entreprises.
Nous avons obtenu que la liberté et le pluralisme des médias soient exclus du champ de la directive et nous avons renforcé la protection des lanceurs d’alerte en faisant reconnaître que faire des révélations dans l’intérêt public était une chose légale. Ces améliorations constituent une avancée substantielle et une première victoire que nous voulons conforter lors des négociations avec le Conseil et la Commission.
Nous aurions souhaité aller plus loin, mais ne pas s’engager dans la négociation avec la droite revenait à la laisser gagner sur un texte plus dur, avec les droites extrêmes. C’est en responsabilité que nous nous sommes engagés dans le rapport de force.
Lors du vote final nous ferons le bilan des avancées et nous établirons en toute conscience notre position définitive sur un texte aussi crucial pour notre démocratie.
En parallèle, nous veillerons à ce que des propositions européennes concrètes pour la protection, notamment des lanceurs d’alerte, puissent figurer dans le rapport en cours d’élaboration par la commission spécial TAXE, créée au Parlement européen à la suite de l’affaire Luxleaks. Nous serons ravis de pouvoir travailler avec vous sur l’élaboration d’un statut protecteur des lanceurs d’alerte.
Nous restons à votre disposition pour tout échange que vous jugeriez opportun."
Pervenche Berès (présidente) de la Délégation socialiste française, Eric Andrieu, Guillaume Balas, Jean-Paul Denanot, Sylvie Guillaume, Louis-Joseph Manscour, Edouard Martin, Emmanuel Maurel, Gilles Pargneaux, Vincent Peillon, Christine Revault d'Allonnes-Bonnefoy, Virginie Rozière, Isabelle Thomas