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Règles de modérationÊtes-vous favorable au débat avec des partis qui défendent légalement et sereinement la sortie de l'Union Européenne ? Afficher la suite
Beaucoup de gens que je rencontre partage cette idée que la seule solution pour exister c'est de ne pas se noyer dans une Union où nous ne sommes qu'un petit 28ème et où l'on ne peut pas espérer que nos intérêts puissent s'imposer à ceux des autres pays qui sont tous très différents. Il est dommage que le discours que l'on entend partout ne parle que de changer l'Europe (l'UE) et pas de choisir oui ou non pour cette union. L' Article 50 existe pour nous rappeler que l'UE n'est pas une fatalité et qu'il existe, comme dans tous traités internationaux, une porte de sortie, sereine et légale. Replier
Bonjour
Nous ne sommes pas un parti politique nous n'avons donc pas de programme.
Si la question se posait, nous demanderions l'avis aux citoyens et nous transmettrions l'opinion majoritaire.
Nous vous invitons à visiter notre site http://www.democratiereelle.eu et à lire notre Charte Démocratie Réelle Sud-Est pour connaître nos engagements pour chacun des votes que nous porterons au Parlement européen.
Bonjour,
Nous sommes favorables au débat avec tous.
Nous pensons que ceux qui veulent sortir de l’Europe changeraient d’avis après un débat avec nous.Les français sont les plus mauvais élèves de l’Europe, il est donc assez facile ensuite de vouloir en sortir.
Mais ce serait une énorme erreur : sur le sujet de la paix, un seul exemple, les pays baltes. Que serait la situation en Ukraine aujourd’hui si les 3 pays baltes étaient encore sous l’influence russe ?
Sur celui de la prospérité, un seul exemple. Du temps du Franc et du Mark, c’est bien le franc qu’on a dévalué de si nombreuses fois ? Et à la fin, quelle est l’économie qui gagne ? C’est l’Allemagne, avec un Mark… Fort !
La seule solution pour exister demain face à la Chine, face à L’Inde, face aux Etats-Unis, c’est de remettre en route la belle mécanique européenne, comme en 1950, avec des parlementaires qui feront honneur à la France au lieu de lui faire honte.
Meeting ce soir à Caluire (69)
Mercredi 14 à Saint-Etienne (42)
Jeudi 15 à Chambéry (73)
Lundi 19 à Annecy (74)
Mardi 20 à Aix (13)
Mercredi 21 à Nice
Bonjour Monsieur
Oui nous sommes favorable au débat avec tout le monde et bien évidemment avec ceux qui seraient dans la même position que nous . Le problème c'est que sur la scène politique Française aujourd'hui, nous sommes les seuls à vouloir sortir sereinement par l'article 50 du TUE de l'UE et donc de l'EURO et pour finir de l'OTAN ...
Les partis dit "eurosceptique " exemple DLR sont critique sur l'UE mais en réalité, ils sont pour une autre Europe comme l'UMP et le PS. Le comble c'est qu'ils reconnaissent tous que l'UE ne marche pas, mais veulent plus d'Europe ou une Europe fédérale américanisé à outrance . Leurs slogans sont pourtant les mêmes depuis 35 ans, promettant une autre Europe, plus ceci ou moins cela, sans dire jamais aux électeurs, que cette autre Europe est impossible parce que pour qu'elle le soit, il faudrait que le FDG par exemple, réussisse à convaincre les 27 autres pays membres de suivre leur doctrine .
Tout le monde sait aujourd'hui, grâce à l'UPR, que c'est impossible d'avoir une Europe FDG majoritaire dans tous les pays de l'UE. Il faut l'unanimité des pays membres pour changer une virgule des traités. Depuis 1957 et le traité de Rome, voir le lien suivant: http://europa.eu/about-eu/basic-information/decision-making/treaties/index_fr.htm
La France à signés des quantités de traités vidant peu à peu notre propre constitution de son sens, pour finir avec le traité de Lisbonne le 13 décembre 2007. Pourtant les français avaient rejeté massivement avec 55% de non la constitution européenne soumisse au référendum en 2005 , et ces Nicolas Sarkosy qui a finalement fait adopté par le parlement et le sénat le prétendu "mini traité" de Lisbonne, rentré en vigueur en 2009.
Pour revenir au partis dit eurosceptiques , il est clair qu'il s'agit d'une tromperie sur la formulation, laissant penser aux auditoires de ces mouvements qu'ils seraient en mesure de dire ce qu'il font et de faire ce qu'ils disent... autrement dit : la création d'une union européenne pour l'éternité dans la joie et le bonheur général conforme à leurs vision de l'Europe sans tenir compte de l'avis des autres évidemment .
Nous voyons bien qu'il s'agit d'une manipulation servant à faire diversion parmi un électorat ne voulant plus tomber dans le piège de l'UE.
Voilà en résumé la nature réelle de ces mouvements dit : Eurosceptiques.
Il existe des mouvement dit d'éducations populaire et ou à la gauche du FDG qui sont pour sortir de l'UE de l'Euro et de l'OTAN. Le seul problème c'est qu'il ne s'agit pas de mouvements de rassemblement dans la mesure où il sont pour une sortie de l'UE par la Gauche ce qui revient à vouloir y resté, car une France totalement à gauche c'est du pur fantasme tout comme une France totalement à droite d'ailleurs ... De plus ces mouvements boycottent les élections européennes alors que sur ce coup là il conviendrait au contraire de mobiliser le plus de français possible pour montrer aux européistes que les français ont compris ce que veut réellement dire la tromperie d'une autre Europe... Le changement par la reprise en main citoyenne de la destiné de la France c'est bien l'UPR qui l'incarne.
En votant pour les liste UPR le 25 mais 2014 vous votez pour la libération de la France et pour le projet formidable d'un juste rayonnement de la France dans le monde, dans le respect du droit international et pour une juste collaboration entre entre les peuples.
Bien à vous
Bonjour, merci pour votre question.
Que ce soit moi ou Nouvelle Donne nous sommes bien sûr favorable à la discussion, au débat et à la confrontation des idées pour trouver ensemble les meilleures solutions et propositions. La discussion et le respect de la contradiction sont deux des socles de Nouvelle Donne.
Cordialement
Sylvie Goulard, candidate, regrette que la campagne pour les européennes se fasse en catimini. Avez-vous conscience que l'UE se fait en catimini ? Afficher la suite
Comme les "négociations" concernant le traité trans-atlantique: en catimini. Les documents secrets déclassifiés des origines de la création de l'Union montrait cette volonté de ne pas impliquer les peuples pour éviter le risque qu'ils veuillent bloquer le processus. Est-ce bien démocratique?
Le catimini me fait penser à la présence d'un extrait de la déclaration Schumann sur tous les chèques qui circulent chez nous, en écriture microscopique...
Ce que l'on cache, c'est parce que c'est trop beau ou trop douteux ? Replier
Bonjour
Sylvie GOULARD, représentante MODEM/UDI est pour une Europe fédérale. Elle considère qu’un député européen ne s’adresse pas au petit public français !
Quel mépris envers l’électeur ! C’est pour cela qu’elle n’est pas choquée, comme nous le sommes, par cette UE antidémocratique…
Cordialement
Bonjour,
Remarque typique d’une professionnelle de la politique.
Certes, elle fait plutôt exception au milieu des députés européens français, en matière de présence au Parlement.Mais qu’a-t-elle fait en France pour faire connaître l’Europe, et pour la faire aimer ?
Député sortante dans l’Ouest de la France, et maintenant dans le Sud-Est ?
Ça ne ressemble pas à grand-chose.
Que pensez-vous de simplifier les procédures d'accès aux fonds européens, notamment pour les petites et moyennes associations.
Collectif des associations citoyennes
Bonjour
De manière générale, la simplification des procédures d’accès aux fonds européens est une nécessité. Il faut arriver à trouver un équilibre raisonnable entre exigences de contrôle des fonds publics et formalités administratives.
Au-delà de la simplification des règles administratives, il est important que le soutien aux acteurs associatifs ou économiques de petite taille et de taille moyenne soit amélioré : c’est le rôle des institutions européennes mais également des pouvoirs publics français.
Cordialement
Bonjour
La bureaucratie, qu’elle soit de Bruxelles ou de la France est néfaste pour notre économie, pour notre démocratie. Cette Europe technocratique est évidemment à réformer. C’est ce que nous ferons lorsque nous serons suffisamment nombreux à être élus au niveau européen, avec nos alliés notamment de UKIP.
Cordialement
Bonjour
Nous ne sommes pas un parti politique nous n'avons donc pas de programme.
Si la question se posait, nous demanderions l'avis aux citoyens et nous transmettrions l'opinion majoritaire.
Nous vous invitons à visiter notre site http://www.democratiereelle.eu et à lire notre Charte Démocratie Réelle Sud-Est pour connaître nos engagements pour chacun des votes que nous porterons au Parlement européen.
Bonjour,
Voilà une question à laquelle nous pourrons répondre pièces en mains. Dès le détail de la procédure actuelle connu, nous pourrons vous donner un avis motivé sur la façon de la siplifier.
Bien à vous.
Êtes vous favorable aux traités de libre échange avec le Canada signé en oct. par l'UE et celui en cours avec les USA (TAFTA) dans le dos des peuples? Afficher la suite
Que pensez-vous de la libre circulation de poulets chlorés, de viande clonée et d'OGM entre autres... qui seront alors imposées par la Commission européenne aux peuples et aux eurodéputés puisque l'UE a compétence exclusive pour la ratification des accords internationaux (article 3 du TFUE)? Replier
Monsieur,
Vous m'avez interrogé sur le partenariat transatlantique de commerce d'investissement (TTIP). Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à ce dossier important.
Il fait actuellement l’objet de nombreux débats, tant à Bruxelles qu’en France. Dans ces discussions, en général l’essentiel est occulté : l’UE est la première puissance commerciale du monde, devant les Etats-Unis. L’accès à un marché solvable et stable de 500 millions de consommateurs nous met en position de force si nous savons définir une position commune solide.
Pour ma part, c’est l’état d’esprit dans lequel j’aborde ce sujet, trop souvent utilisé pour faire peur.
Les négociations relatives aux accords de libre-échange sont une compétence exclusive de la Commission européenne : il n'y a aucun gouvernement qui négocie ces accords lui-même. La procédure pour ce type d’accord est que, tout d’abord le Conseil donne son accord pour négocier un tel accord. Ensuite c'est la Commission qui négocie au nom de tous les Européens. Si un accord est trouvé entre les négociateurs, il appartient au Conseil des ministres et au Parlement européen de l’approuver. Tout au long de ce processus de négociation, la Commission travaille étroitement avec le Conseil des ministres et fait rapport, de manière régulière au Parlement européen. Ces accords étant stratégiques, il n'est pas choquant que toutes les informations sur les négociations ne soient pas rendue publiques car les enjeux sont énormes et cela affaiblirait la position européenne.
Ceci dit, le site de la Commission est déjà une bonne source d’information. Vous trouverez plus de détails sur le lien : http://ec.europa.eu/trade/policy/in-focus/ttip/index_fr.htm. Les commissions thématiques du Parlement européen accueillent régulièrement des représentants de l’équipe de négociation de la Commission européenne.
Je salue la décision de la Commission de lancer une consultation publique sur la question de la protection des investisseurs : http://trade.ec.europa.eu/consultations/index.cfm?consul_id=179. Cet élément des négociations est à la fois très sensible et très technique. Il est utile de rappeler que cet outil existe depuis longtemps et a été largement utilisé pour défendre les investissements des entreprises européennes à l'étranger notamment dans des États où la justice ne peut être considérée comme indépendante et apolitique. La question est de déterminer s'il est opportun d'inclure ce mécanisme dans cet accord commercial, et si oui quels seront les paramètres appliqués. Cette question devra être tranchée mais il faut garder à l'esprit que la justice aux Etats-Unis est répartie entre le niveau fédéral et le niveau des États. Cette division n'est pas garante nécessairement d'approche harmonisée et la défiance de certains juges "locaux" par rapport aux jugements fédéraux est réalité. Par ailleurs, la Commission a exprimé sa volonté de préserver la volonté légitime des États membres d'effectuer des choix politiques ce qui se traduira, au minimum, par un encadrement du mécanisme.
Il y a un lobbying très fort sur cette question, certes mais le lobbyisme n’est pas un phénomène propre à l’UE. Il y a des milliers de lobbyistes à Bruxelles, comme il y en a en France, et dans tous les autres États membres. Dans le cadre de mon travail en tant que députée européenne, je considère important de consulter non seulement les experts mais également ceux à qui la législation s’appliquera. Ce sont à la fois des grandes entreprises internationales, des ONG, grandes ou petites, des associations de professionnels ou de consommateurs, des syndicats. N'est-ce pas mieux de discuter avec tous ? Ils apportent un regard concret précieux même si, au final, il revient à chaque député de prendre la décision sur les amendements qu'il souhaite déposer et de voter en son âme et conscience.
Je souhaite aussi attirer votre attention sur le fait que nous ne sommes qu’au début du processus de négociation de cet accord de libre-échange avec les Etats-Unis : il n'y a aucune offre qui a été présentée. Des points très importants pour les deux parties ne seront pas réglés toute de suite, à supposer que la négociation aboutisse. Je défends une position « offensive » de la part de la Commission européenne pendant les négociations, pour protéger les produits de qualité européen reconnus aux États-Unis comme en Europe (par exemple les systèmes de protection des appellations et des indications géographiques), et ainsi permettre aux agriculteurs et viticulteurs européens d'augmenter leurs ventes sur le territoire américain. Pour moi, c'est un point clé. Il faut également défendre nos politiques sur les normes et les contrôles sanitaires, l'Union européenne ne doit en aucun cas réduire leur exigences sanitaires. Nous exigeons une harmonisation par le haut, fondée sur les normes les plus exigeantes de qualité et de sécurité. Notre modèle européen aux standards de qualité élevés n’est pas négociable.
Je tiens sur ce point précis à souligner qu'il s'agira d'un des points essentiels sur lesquels l'accord se fera ou ne se fera pas. Une quasi-unanimité de sénateurs américains ont averti le gouvernement américain que si l'accord reconnaissait le système européen d'appellations et indications géographiques, ils s'opposeraient à l'accord. Ceci illustre que nous sommes loin de l'accord annoncé par certains commentateurs ou oiseaux de malheur.
A la demande les Etats-Unis, les services financiers ne sont actuellement pas dans le mandat de négociation ; je désapprouve cette exemption, et considère l'harmonisation des services financiers comme un volet essentiel qui doit être inclus si l'UE a l'intention de signer un accord. L'inclusion de ce pan dans l'accord permettrait de garantir une saine concurrence entre blocs financiers mais également de garantir un régime de contrôle et supervision très élevé et ne pas permettre à certains acteurs d'opter pour le régime de contrôle le moins strict.
Encore un élément fondamental qui conditionnera mon choix : certains vantent que cet accord deviendra le standard mondial, qui serait appliqué à tous les accords commerciaux par la suite. Je ne partage pas cette position et considère qu'un accord entre les deux plus grands marchés au monde ne devrait pas dire que leurs normes seront imposées à tous les pays. Cela pourrait avoir des effets pervers, notamment sur les pays en voie de développement par exemple. Entrer dans un accord commercial devrait être un choix, et les négociations devront avoir lieu entre tous les participants. Pour un commerce mondial qui profite à tous, je reste partisane de négociations ayant lieu dans une enceinte multilatérale : tout le monde peut s'y exprimer et tenter ainsi retrouver un régime positif pour tous.
Je reste fondamentalement attachée à l'échange et au dialogue. Dès lors, je ne partage une stratégie visant à être contre avant même d’avoir commencé à discuter de ce dossier. Si un accord est présenté au Conseil des ministres et au Parlement européen, il faudra l'étudier, et partant du fond, décider de l’approuver ou le rejeter. Nous en sommes loin actuellement, ce n'est que le début de négociations très longues et dures pour les deux parties.
En ce qui concerne votre question vis-à-vis du traité de libre-échange avec le Canada, il faut attendre la finalisation des négociations pour examiner calmement les détails de l'accord. En octobre 2013, le Président de la Commission européenne, M. José Manuel Barroso, et le Premier ministre canadien, M. Stephen Harper, ont trouvé un "accord politique" sur les éléments essentiels d’un tel traité de libre-échange. Ceci dit, le traité n'est pas encore finalisé : les deux équipes de négociation sont en train de faire des vérifications juridiques et de finaliser les détails qui doivent traduire l'accord politique en texte juridique.
Une fois que le traité aura été finalisé et signé par le responsable européen, l'accord sera transmis au Parlement européen pour son approbation ou rejet. Dès lors, lorsque le texte de l'accord sera présenté au Parlement européen, il faudra l'étudier et décider de l’approuver ou le rejeter. Comme je l'ai déjà dit en ce qui concerne le TTIP, il faut évaluer l'accord sur le contenu. Je défends une position « offensive » pour protéger les produits européens de qualité reconnus en Europe (par exemple les systèmes de protection des appellations et des indications géographiques) mais il faut également défendre nos politiques sur les normes et les contrôles sanitaires. L'Union européenne ne doit en aucun cas réduire ses exigences sanitaires. Nous voulons une harmonisation par le haut, fondée sur les normes les plus exigeantes de qualité et de sécurité. Comme pour le TTIP, notre modèle européen basé sur des standards de qualité élevés n’est pas négociable.
Bien à vous
Bonjour,
Nicolas DUPONT AIGNAN avec DLR, et moi-même, nous sommes contre ces traités de libre échanges qui ne sont pas équilibrés. Le commerce extérieur doit se faire sur une base équilibré, avec des règles du jeux claire de part et d’autre. Or, les USA sont protectionnistes chez eux, de manière habile et intelligente et nous, nos politiciens ouvrent nos frontières sans contrôles et vont même accepter les normes sanitaires américaines, comme le bœuf aux hormones, le poulet aux chlore et toute la malbouffe américaine dont on voit les dégâts sur la population.
Il fait savoir, contrairement à ce que béats de l’Europe disent, que les pays ne sont pas informés de la négociation et que la commission a un pouvoir qui lui a été donné pour négocier dans le secret le plus absolu ! Est-ce cela la démocratie ?
Cordialement
Bonjour
Nous ne sommes pas un parti politique nous n'avons donc pas de programme.
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Bonjour,
N’est fait dans le dos des peuples que ce que leurs élus absents du Parlement Européen laissent faire.
Nous avons l’engagement ferme et écrit d’être présent.
Le futur traité TAFTA est une bonne idée sous condition d’un contrôle et d’un pouvoir européen fort face aux Etats-Unis. Cela reste donc à construire et nous y veillerons.
La seconde réponse découle de la première, rien n’est encore imposé.
Bien cordialement à vous.
Enjoindrez vous le candidat à la présidence de la Commission européenne de à présenter un projet de statut d’association européenne ? Afficher la suite
Pour le Président de la Commission :
Si vous êtes élu(e) député(e) européen(ne) enjoindrez vous le candidat à la présidence de la Commission européenne de s'engager dès le début de son mandat à présenter aux Parlement et Conseil un projet de statut d’association européenne inspiré du projet de statut, retiré en 2007 par Manuel Barroso ?
Ce projet pourrait être préparé par une vaste consultation de la société civile
au nom du Collectif des associations citoyennes Replier
Bonjour
Je suis favorable à ce que la réflexion sur le statut d’association européenne reprenne et s’accélère. Un statut juridique européen me semble être un outil notamment pour dynamiser la société civile européenne.
Cordialement
Quand nous serons élus, nous demanderons à notre groupe de travailler à la remise en cause des traités qui ont fait cette UE à 28 que nous dénonçons.
C’est notre objectif et nous travaillerons à une Europe de projet, de coopération entre les Etats.
Bonjour
Nous ne sommes pas un parti politique nous n'avons donc pas de programme.
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Bonjour Monsieur
Nous n'adjoindrons personne à inscrire quoi que soit dans un projet européiste . Nous voulons sortir de l'UE par l'article 50 du TUE qui prévoie la sortie de tous pays membre ...
Rien d'autre n'a de sens pour nous. Les Associations n'ont pas besoin d'un statut européen pour exister. Il n'y a donc aucune raison de prétendre à un statut européen pour les association . Tout cela n'aillant de sens que dans le cas d'une démocratie et l'UE n'est pas une démocratie...
Bien à vous
Êtes vous favorable à une Europe Fédérale ? Qui choisirai(en)t ces nouveaux espaces politiques dites des régions européennes ?
Bien évidemment, nous sommes pour une Europe de la coopération des peuples, des nations, des patries qui respecte les pays et non pour une Europe qui met en concurrence déloyale tel ou tel pays, l’un contre l’autre, permettant les salariés détachés roumains, ou polonais ou bulgares sous payés, sans réelle protection sociale, sans condition de travail digne, à la place de salariés employés sous le droit français, avec les charges françaises (sans aucun doute trop élevée cependant) mais aboutissant à supprimer des centaines de milliers d’emplois en France.
Je vous rappelle qu’il y a près de 350 000 salariés détachés en France, que nous avons perdu plus de 100 000 emplois direct dans les transports routiers français en 10 ans… etc…donc, l’europe fédérale dont rêve certain est une erreur économique fondamentale et nous n’en voulons pas contrairement à ce que certains affirment.
N’oublions pas tous les morts de la France qui ont donné leur vie pour notre patrie. Honorons leur mémoire en maintenant l’indépendance de la France qu’ils nous ont léguée.
Bonjour Monsieur ,
Clairement non , nous ne sommes pour aucune forme d'UE , les états souverains n'ont pas besoin de s'inféoder a un groupe de pays , les alliances ont toujours existé et les intérêts communs peuvent se mettre en forme en fonction des besoins, rien d'autre n'est utile et certainement pas une fédération type USA .
L'Europe Fédérale est le projet de Walter Hallstein le juriste NAZI recyclé après guerre en premier président de la commission européenne voir la vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=nwS0E1N1OCg
C'est également le projet de DLR qui veut une Europe fédérale conformément a son alliance avec le parti de Farage l'UKIP et c'est également le projet du FN qui veut une EUROPE fédérale qui est en fait une Europe blanche racialiste comme la construction européenne actuellement est racialiste et communautariste conformément au choc des civilisations que certain appelle de leurs voeux ....
Merci de votre attention
Bonjour, merci pour ces questions. De quel type de fédéralisme parle t'on ?
Du type des USA, de l'Allemagne, de l'Inde ou Suisse ? Nouvelle Donne propose un Traiteì de l’Europe sociale au sein d’un groupe de pays partageant les mêmes objectifs d’harmonisation fiscale, sociale et environnementale par le haut, avec des critères strictes pour lutter contre le chômage, la pauvreté, le dumping et l’austérité.
Cordialement
Actuellement le recrutement à l'Union Européenne se fait sur la base de l'anglais (monopolistique) + 2 autres langues ; est-ce normal ?
Il est inacceptable que l’anglais et 2 autres langues soient la base du recrutement.
Cela aboutit en réalité à ce que l’anglais soit la langue pratiquée dans les instances de l’UE. Si cette UE respectait vraiment les peuples, il y aurait une totale égalité entre les différentes langues et l’embauche de traducteurs interprètes comme cela était prévu initialement.
Mais cette UE préfère privilégier l’anglais de manière quasiment exclusive en pratique, contrairement aux textes qui font que les documents doivent être dans la langue du pays.
Bonjour Monsieur
Bien évidemment que c'est un scandale cette façon sournoise d'américaniser l'UE et les peuples Européens . Nous sommes le seul mouvement politique en France à avoir clairement dénoncé la loi Fioraso voir l'article: http://www.upr.fr/actualite/france/petition-nationale-contre-le-projet-de-loi-fioraso-esr-qui-vise-a-imposer-langlais-dans-lenseignement-superieur-en-france
Cette loi s'inscrit bien sur dans le cadre d'un démantèlement des états nations et votre question trouve sa réponse dans cette volonté européiste de faire disparaître les peuples d'Europe au profit d'un prétendu peuple européen qui n'existe que dans le rêve des européistes...
Bonne journée
Êtes vous-favorable à la mise en place d'un revenu de base inconditionnel ?
Naturellement, et c'est une de nos propositions fortes, parmi les 60 propositions du programme du Parti Fédéraliste Européen.
C'est en effet pour nous un élément clé de la justice sociale pour tous. Dans le contexte actuel, avoir la garantie du meilleur niveau de protection sociale est une attente légitime des citoyens européens face au développement d'une économie globalisée. Les Etats actuels, isolés, morcelés et souvent concurrents entre eux, ont des réponses disparates et parfois divergentes sur ces questions sociales.
Seul un budget fédéral permettra une réelle solidarité pour faire face aux accidents économiques, et maintenir une cohésion territoriale. Il jouera le rôle de stabilisateur au travers "d'un système européen d'indemnisation du chômage ou d'un revenu inconditionnel de base" pour tous.
cordialement
Tout dépend de quoi nous parlons. Il est évident qu’en France nous sommes pour un smic décent qui permette à tout citoyen de vivre décemment.
Le problème avec cette union européenne à 28 que nous dénonçons, c’est notamment l’écart des salaires minima qui existent entre des pays qui sont trop éloigné en développement. Smic de 1 à 10, selon les pays. Et libre concurrence entre ces mêmes pays ! C’est ridicule et destructeur pour nos emplois.
Et si mettre en place un revenu de base inconditionnel, c’est le fixer sur une moyenne des pratiques de ces 28 pays, soit en dessous du smic français, je suis contre. Mais si le fixer, c’est le fixer pour tous sur nos bases à nous, c’est irréaliste et cela ne se fera pas sans douleurs. En effet, le temps que la Bulgarie, la Roumanie, la Pologne augmentent leurs salaires minima jusqu’à un salaire décent selon nos critères, il ne se passera pas moins de 10 à 20 ans…. Le temps de tuer ce qui reste de nos emplois industriels en France et cela, nous ne le voulons pas et nous nous opposerons à la paupérisation des français sous prétexte d’harmonisation avec des pays qui pratiquent du dumping social.
Bonjour
Nous ne sommes pas un parti politique nous n'avons donc pas de programme.
Si la question se posait, nous demanderions l'avis aux citoyens et nous transmettrions l'opinion majoritaire.
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Bonsoir,
Désolé pour cette réponse tardive, mais l’époque est épique. Tout travail mérite salaire, à un niveau qui ne décourage pas l'employeur d'embaucher, et qui assure un niveau de vie acceptable au salarié. Nous proposons un salaire minimum qui tienne compte des disparités régionales de niveau de vie.
Par ailleurs le système actuel d’aides, qui combine 9 minima sociaux, gérés et payés par différents organismes, est trop complexe, tant pour la personne accompagnée (peu de lisibilité, complexité de l’accès, multiplication des procédures) que pour les pouvoirs publics (duplication des structures, contrôle rendu plus difficile). Le RSA a été conçu pour opérer cet alignement des intérêts objectifs des personnes sur celui de la société, et Nous Citoyens adhère à ses principes de départ : toute heure travaillée doit être rémunérée, tout travail supplémentaire doit se traduire par un gain de revenu, les prestations sociales doivent diminuer moins que proportionnellement à l’augmentation des revenus du travail. Mais la fusion des aides et la simplification du système n’ont pas été conduites jusqu’au bout.
Sans réduire les montants distribués, nous proposons de simplifier radicalement le système d’aides et de supprimer ses effets pervers. Les aides existantes sont fusionnées au sein d’une aide multi-critères. L’aide maximale est plafonnée pour maintenir une incitation positive à travailler correspondant au moins à 35 % : pour chaque euro gagné, les revenus nets de la personne augmentent d’au moins 35 centimes. Une partie de l’aide (environ un tiers) est conditionnée à l’implication de la personne dans son projet.
Bien cordialement.
Bonsoir Monsieur Martel,
Notre problématique actuelle n'est pas de savoir s'il faut ou non un revenue de base inconditionnel en France comme dans le reste de l'UE, puisque cette affaire est d'abord un enfumage proposé par des européistes aux abois qui voudraient mettre l'ensemble des peuples européens sous la même houlette dictatoriale avec des propositions démagogiques enfermant les citoyens dans un assistanat permanent à défaut de pouvoir proposer une véritable perspective d'avenir.
Cette proposition est l'arbre qui cache la forêt démontrant que l'UE est le tombeau des peuples européens et la fin des démocraties. C'est une façon sournoise de reconnaître que l'UE a réussi l'exploit de mettre à genoux l'ensemble des pays qui en sont membres au point que le chômage et la paupérisation sont le lot quotidiens des citoyens pris dans le chaos généré par la mise en concurrence déloyale des salariés aux niveaux de vie différents selon leurs pays respectifs, par le biais des directives imposées par les traités de l'union européenne. Le chômage et la précarité ne sont qu'un des aspects délétères de l'entreprise européiste à l'origine de l'effondrement des civilisations . Notre position est de dire que la première chose à faire et de sortir de l'UE afin que la France retrouve sa démocratie et les pleins pouvoirs pour la gestion de sa politique intérieure et extérieure . Les autres pays membres de l'UE n'ont qu'à en faire autant, mais nous ne pouvons répondre à leur place ... Sortir de l'UE c'est s'ouvrir sur le monde y rester c'est s'enfermer dans une construction morbide d'un autre temps. Voir le discours de Victor Hugo de 1849 source Wikipédia:
États-Unis d’Europe est une expression utilisée par Victor Hugo, le 21 août 1849, à l'occasion du Congrès international de la paix de Paris8. C'est aussi le titre d'une revue consacré à la paix créée en 1867.
Extrait du discours :
« Un jour viendra où les armes vous tomberont des mains, à vous aussi !
Un jour viendra où la guerre paraîtra aussi absurde et sera aussi impossible entre Paris et Londres, entre Pétersbourg et Berlin, entre Vienne et Turin, qu'elle serait impossible et qu'elle paraîtrait absurde aujourd'hui entre Rouen et Amiens, entre Boston et Philadelphie.
Un jour viendra où la France, vous Russie, vous Italie, vous Angleterre, vous Allemagne, vous toutes, nations du continent, sans perdre vos qualités distinctes et votre glorieuse individualité, vous vous fondrez étroitement dans une unité supérieure, et vous constituerez la fraternité européenne, absolument comme la Normandie, la Bretagne, la Bourgogne, la Lorraine, l'Alsace, toutes nos provinces, se sont fondues dans la France.
Un jour viendra où il n'y aura plus d'autres champs de bataille que les marchés s'ouvrant au commerce et les esprits s'ouvrant aux idées.
Un jour viendra où les boulets et les bombes seront remplacés par les votes, par le suffrage universel des peuples, par le vénérable arbitrage d'un grand sénat souverain qui sera à l'Europe ce que le parlement est à l'Angleterre, ce que la diète est à l'Allemagne, ce que l'Assemblée législative est à la France.
Un jour viendra où l'on montrera un canon dans les musées comme on y montre aujourd'hui un instrument de torture, en s'étonnant que cela ait pu être. »
Les États unis d'Europe, dont Victor Hugo fut l'un des inspirateurs originels, constituent le premier échelon d'une entreprise se voulant universelle, censée aboutir, in fine, à une concorde planétaire entre les hommes, quels qu'ils soient, par-delà les castes9. Hugo écrit:
« Elle s'appellera l'Europe, au xxe siècle, et, aux siècles suivants, plus transfigurée encore, elle s'appellera l'Humanité. »
— Paris-guide, exposition universelle de 1869.
Bonne soirée.
Cher Nathanaël Martel,
Merci pour votre question. Oui, je suis extrêmement favorable à la mise en place d'un revenu de base inconditionnel. En 2013, je me suis d'ailleurs activement engagé dans la campagne de l'initiative citoyenne européenne pour le revenu de base.
Dans le programme de Nouvelle Donne* se trouve un premier élément allant dans ce sens avec notre proposition de donner aux citoyens de plus de 18 ans, l'équivalent de 150 euro par mois** de façon inconditionnelle.
Cordialement,
Que comptez-vous faire pour assurer notre autonomie alimentaire, le maintien de nos paysans, garants d'une agriculture responsable, supportable, écologique, économique ? Afficher la suite
Qui se soucie d'une agriculture UNE (de tous ses agriculteurs) pris en otage par (entre) la colonisation interne des territoires (fusion stratégique DDA-DDE en DDT) l'inefficacité des syndicats, la main mise de la grande distribution (prix bas contre qualité) le niveau des charges, le non respect des prix de revient, la désaffection par ignorance, la mondialisation par concentration des moyens (et bientôt des terres) dans quelques mains (non agricoles) le monopole du commerce (et de la finance) la concurrence déloyale par non harmonisation des lois des Etats membres. Projet Grange d'Abondance Replier
Je suis en faveur d'une agriculture européenne durable, écologique et économique.Il faut assurer à la fois un revenu décent pour les agriculteurs, et la protection durable de l'environnement.
Depuis 2010, le Parlement européenne a travaillé sur la réforme de la Politique agricole commune (PAC), en co-décision (c'est-à-dire sur un pied d'égalité avec le Conseil des Ministres) pour la première fois sur les sujets agricoles. Les négociations ont été longues et compliquées mais un accord a été trouvé et sera pleinement appliqué à partir de 2015.
Une grande nouveauté de cette réforme est l'inclusion du principe de "verdissement", qui récompense les agriculteurs pour les « biens publics environnementaux » qu'ils fournissent. Ces actions entrepris par les agriculteurs ne sont pas remboursées lors de la vente de leur production mais sont essentielles pour le maintien des terres et la protection de l'environnement.
Un autre élément important de cette réforme est le principe "d'agriculteur actif" : afin de recevoir les fonds, l'activité principale doit être l'agriculture. Une nouvelle liste négative est mise en place et précise les activités professionnelles qu'il convient d'exclure du bénéfice des paiements directs (aéroports, compagnies ferroviaires, compagnies de distribution des eaux, sociétés immobiliers et terrains sportifs et récréatifs permanents). Il faut s'assurer que l'agent disponible pour l'agriculture soit utilisé de la meilleure manière possible.
La nouvelle réforme offre également des aides supplémentaires pour les petits et jeunes agriculteurs, essentiel pour permettre un renouvellement des générations et pour assurer la viabilité des petites fermes et petites structures agricoles. En complément de ses mesures, un rôle beaucoup plus important a été donné aux organisations des producteurs (OP), les associations d'OP et des organisations interprofessionnelles de manière à augmenter le pouvoir de négociation des agriculteurs. En renforçant ces outils, les producteurs peuvent mieux s'organiser et mieux négocier avec la grande distribution.
En matière viti-vinicole, un nouveau système d'autorisation de plantation est prévu à partir du 1er janvier 2016, jusqu'à 2030, pour remplacer le système actuel de droits de plantation. Le maintien d'un système qui limite l'expansion de la production viticole européenne évitera des risques de surproduction, la chute des prix et des revenus, la baisse de la qualité, la disparition de nombreuses exploitations familiales, la délocalisation du vignoble des coteaux vers les plaines ou dans les pays de l’Union à bas coûts de production et le maintien de la production du vin sur les sols fragiles protégera contre l'érosion.
Il y aura bien sûr d'autres réformes à faire, dans l'avenir tous les secteurs seront obligés de réduire leur impact sur l'environnement mais pendant cette réforme de la PAC, le Parlement européen s'est battu pour les petits et moyens agriculteurs et pour rendre l'agriculture européenne plus verte et plus durable.
Il faut agir rapidement pour sauver notre agriculture. Les Suisses, les Allemands ont un principe de base. Lorsqu’ils sont en pleine production dans leurs pays, (fruits, légumes…etc), ils consomment en priorité leur production et protègent leurs agriculteurs contre l’importation de produits concurrents durant cette période. Ils régulent l’accès à leur marché agricole et accessoirement évite un bilan carbone désastreux alors qu’en France nos producteurs sont en concurrence déloyale avec les producteurs espagnols, marocains, israéliens, ou même allemands (qui ont un smic horaire de 5 à 6€ !).
Comment peut s’en sortir un agriculteur en France dans de telles conditions ? Ils sont en pleine catastrophe économique, en pleine détresse dans l’absolue indifférence de nos politiques. Près d’un agriculteur par jour se suicide ! et personne n’en parle ! Contrairement à ce que l’on dit habituellement, l’Union Européenne ne protège pas notre agriculture. Les aides versées ne sont qu’un retour de la subvention que la France verse à l’UE, (au passage, la France perd 7Md€ par an).
La riziculture de la Camargue est en train de mourir si les décisions prises à Bruxelles s’appliquent ! Il faut protéger nos agriculteurs qui sont les nourriciers de notre pays !
Bien cordialement et merci pour votre question essentielle pour la France, et désolé pour une réponse aussi courte pour un si vaste enjeu !
Bonjour,
Il est nécessaire de comprendre ce qui se cache derrière le traité transatlantique (le libre échange) entre l’Europe et les USA, que Monsieur KAREL de GULT Commissaire Européen cache tel qu’un secret d’Etat.
Il faut savoir que les nouveaux députés fraichement élus et non informés de ce contenu, devront voter des le premier jour de leur investiture au Parlement…
Êtes vous favorable à l'interdiction totale des pesticides tueurs d'abeilles, de la culture du maïs OGM, des forages pour le gaz de schiste... ? Afficher la suite
Approuvez vous une amélioration du "plan loup" plus favorable aux éleveurs ? Replier
Bonjour
Nicolas DUPONT AIGNAN, avec DLR et nos listes dans toute la France, dans toutes les circonscriptions, nous sommes des hommes et des femmes responsables et qui ferons sortir la France de cette Union Européenne. Les solutions existent. Il n’y a pas de fatalité.
Mais il faut savoir que tous les financiers, qui profitent, eux, de cette UE et de cette BCE, feront tout pour faire peur aux électeurs pour continuer à profiter de la manne financière que représentent pour eux, les Goldmann Sachs et autres, les taux d’intérêts qu’ils imposent aux pays, tout en profitant, eux, de prêts à faible taux par la BCE, cette BCE qui n’a pas le droit de prêter directement aux Etats…