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Si vous posez la question au nom d'une personne morale ou d'un collectif, nous vous remercions de l'indiquer à la fin de votre message.
Règles de modérationQue proposez-vous pour défendre et promouvoir la langue et la culture alsacienne, ainsi que le platt/francique en Moselle ?
Monsieur,
Le Grand Est est riche de ses identités existantes, en aucun cas il ne doit en être la négation.
Aussi, nous serons des ardents défenseurs des langues et cultures régionales.
C'est la région Alsace qui a été à l'initiative des Assises du bilinguisme qui ont permis d'élaborer un plan d'actions précis pour les prochaines années.
S'agissant de la Culture Alsacienne, c'est aussi la Région qui a créé le Conseil Culturel d'Alsace, réunissant tous les acteurs de la culture alsacienne. Cette instance perdurera dans la nouvelle Région.
A votre disposition,
Cordialement,
Monsieur,
Reconnaître la richesse et la diversité linguistique de la France est une force. La diversité est une force. La ratification de la Charte garantirait la protection des langues régionales et leur donnerait un statut de patrimoine commun à tous les Français.
D'une part il s'agira de défendre et de promouvoir le bilinguisme français-allemand et de l'inscrire dans le trilinguisme (avec l'anglais) et de le diffuser dans toute la grande région. D'autre part il s'agira de s'appuyer sur les cultures régionales et les langues régionales dans le cadre de la politique culturelle. Nous sommes favorables à la reconnaissance du Conseil Culturel d'Alsace actuellement en structuration par les institutions de la grande région.
Bien à vous,
Sandrine Bélier
Monsieur, la liste que je conduis ne fera pas l’impasse sur les spécificités de nos régions et de nos territoires comme par exemple les langues régionales car elles font partie de notre identité. Je l’ai dit dès l’origine, rien ne disparaîtra, soyez en rassuré.
Je m’engage, si je suis élu à la tête de la nouvelle région, à donner à nos concitoyens qui le souhaitent les outils et les moyens qui leur permettront de porter et de développer la pratique des langues régionales. Une des propositions de notre liste « + Forte, + Proche, Notre Région avec Jean-Pierre Masseret » est d’ailleurs de créer une Chambre des langues régionales, qui sera un lieu de concertation, au sein du Conseil Régional, réunissant tous les acteurs des langues régionales."
Jean-Pierre Masseret, Tête de liste régionale « + Forte, + Proche, Notre Région avec Jean-Pierre Masseret »
Liste de la Gauche responsable, socialiste, écologiste, progressiste, communiste et républicaine.
Pour plus d’informations : www.notreregion-avecjpm.fr
Bonjour,
L'Alsacien comme le platt , sont des dialectes parlés par un nombre important de travailleurs. Nous considérons qu'ils font la richesse de notre territoire. Cette maîtrise du dialecte est un atout raison de la proximité des pays germanophones.
Ainsi, nous proposons des politiques volontaristes dans le domaine de l'éducation et un soutien à la création artistique visant à promouvoir la culture alsacienne.
Pour dépasser le stade des « belles promesses » nous souhaitons qu'un budget régional soit Pour développer et promouvoir les langues et culture régionale.
Cordialement
Que proposez vous pour préserver l'identité alsacienne ainsi que le bilinguisme ?
Monsieur,
La fusion des trois régions Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine, décidée par le gouvernement socialiste et que les candidats Richert et Masseret n’ont pu ni voulu empêcher, va mettre considérablement à mal les identités de nos régions. Nous avons combattu cette fusion et nous ne la pensons pas éternelle.
Elu Président de région, j’aurai donc à cœur de préserver la richesse culturelle de nos trois régions. Cela passe notamment par la défense du Droit local et du régime concordataire en Alsace-Moselle tels qu'ils sont.
Je propose également que les élus de la grande région se réunissent tous les deux mois en formation « ancienne région » sur les questions culturelles et identitaires. Nous sanctuariserons également les dépenses liées à l’apprentissage des langues régionales et à la culture.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
Le Grand Est est riche de ses identités existantes, en aucun cas il ne doit en être la négation.
Aussi, nous serons des ardents défenseurs des langues et cultures régionales.
C'est la région Alsace qui a été à l'initiative des Assises du bilinguisme qui ont permis d'élaborer un plan d'actions précis pour les prochaines années.
S'agissant de la Culture Alsacienne, c'est aussi la Région qui a créé le Conseil Culturel d'Alsace, réunissant tous les acteurs de la culture alsacienne. Cette instance perdurera dans la nouvelle Région.
A votre disposition,
Cordialement,
Monsieur, la liste que je conduis ne fera pas l’impasse sur les spécificités de nos trois régions et de nos territoires comme par exemple les langues régionales car elles font partie de notre identité. Je l’ai dit dès l’origine, rien ne disparaîtra, soyez en rassuré. A côté d’elles, le bilinguisme est d’ores et déjà une réalité, du fait de notre position transfrontalière avec l’Allemagne comme voisin. C’est un particularisme fort de notre région, il le demeurera.
Je m’engage, si je suis élu à la tête de la nouvelle région, à donner à nos concitoyens qui le souhaitent les outils et les moyens qui leur permettront de porter et de développer la pratique des langues régionales. Une des propositions de campagne est d’ailleurs de créer une Chambre des langues régionales, qui sera un lieu de concertation, au sein du Conseil Régional, réunissant tous les acteurs des langues régionales."
Jean-Pierre Masseret, Tête de liste régionale « + Forte, + Proche, Notre Région avec Jean-Pierre Masseret »
Liste de la Gauche responsable, socialiste, écologiste, progressiste, communiste et républicaine.
Pour plus d’informations : www.notreregion-avecjpm.fr
Que pensez vous faire pour améliorer la création d'entreprises (l'emploi) et le service public en Arggonne (région boisée du nord est marnais) ?
Monsieur,
La dynamisation de nos territoires par la création d’emplois et le maintien de nos services publics font partie de mes priorités absolues pour la grande région.
Elu Président de région, je défendrai les entreprises régionales en leur donnant une priorité dans l’accès aux marchés publics du conseil régional par les normes sociales et environnementales. Les subventions régionales seront également conditionnées au maintien de l’emploi et elles seront supprimées pour les entreprises qui décident de délocaliser.
Je me battrai également pour le maintien des services publics dans nos campagnes notamment en terme de transports en commun et d’accès aux soins pour qu’aucun territoire ne soit oublié.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
Je sais où se trouve l'Argonne.
Pour ce qui concerne la création en zone rurale, la territorialisation des politiques régionales est la démarche que je préconise. Territoire par territoire, avec les acteurs publics et privés, entreprise par entreprise, nous examinerons toutes les possibilités d'aider à la création d'emploi.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Bonjour Monsieur,
À l'Union Populaire Républicaine, nous ne cessons d'expliquer aux Français la raison profonde des délocalisations massives qui ont lieu dans notre pays.
Les traités européens, et notamment l'article 63 du traité sur le fonctionnement de l'union européenne, interdisent les États membres de l'union européenne d'empêcher les délocalisations.
Avant le traité de Maastricht (dans lequel cet article était déjà présent), l'État pouvait empêcher les délocalisations ou mettre des quotas d'importations 0 sur les produits fabriqués dans des pays à très bas coûts de salaires.
Du coup, le mot délocalisation n'existait tout simplement pas.
Désormais, à cause des traités européens, nous sommes devenus impuissants pour lutter efficacement contre la fuite de nos emplois (chaque jour nous perdons entre 600 et 800 emplois industriels et une usine ferme chaque jour).
De plus, les traités ne peuvent être modifiés, à cause de l'article 48 du traité de l'union européenne (TUE), qui fixe qu'il faut que tous les États (unanimité) soient d'accord au même moment pour changer les traités.
Dès lors, la seule solution viable, pour empêcher les délocalisations et lutter contre le chômage, est de sortir de l'union européenne et de l'euro (par l'article 50 du TUE), ce que nous sommes le seul parti politique français à proposer.
Néanmoins, comme nous n'avons plus les "manettes" et que nous sommes honnêtes avec les électeurs, nous n'allons pas promettre monts et merveilles aux citoyens.
Par contre, nous proposons de réorienter massivement les aides accordées par le Conseil Régional vers les PME, les TPE et l'Artisanat.
Pour ce qui est des services publics, leurs privatisations à long terme est organisé par les articles 106 et 121 du TFUE.
Sur ce sujet, là encore, nous devons quitter l'union européenne, afin de pouvoir préserver et améliorer nos services publics.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Que proposez vous pour le développement du numérique ?
Monsieur,
Le numérique est un formidable potentiel de croissance et une source d’économies, qui pourra être particulièrement utile dans le cadre de la fusion des trois régions. J’ai ainsi proposé à plusieurs reprises de digitaliser les pratiques du Conseil régional, notamment en développant la visio-conférence pour les réunions, afin de réduire au maximum les dépenses superflues et la pollution liée aux déplacements.
Le numérique est également essentiel pour les habitants de la grande région puisqu’il est devenu un élément central de communication : je chercherai en conséquence à favoriser une couverture numérique optimale afin que chaque citoyen ait accès à une connexion de qualité, dans un souci d’égalité.
Enfin, le numérique aidera considérablement les entreprises de la région à gagner en compétitivité, à contribuer à leur transformation (je pense notamment à l’usine du futur) et le conseil régional que je dirigerai saura accompagner les initiatives de R&D dans ce domaine.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
Voilà les principaux axes de notre programme :
Faire du numérique une priorité tant au plan des infrastructures (THD FFTH) et que des usages (santé, cartable numérique, culture numérique). Le développement numérique n’est aujourd’hui plus un choix, c’est une obligation collective.
L’accès au haut débit pour tous les citoyens est un enjeu de société. A la fois en termes d’aménagement équilibré du territoire comme d'attractivité et de développement économique pour les entreprises, les secteurs de la recherche et de l’enseignement. La Région a un rôle clef à cet égard pour que le numérique soit accessible quelque soit la taille de la commune.
Nos propositions :
Engager clairement la Région dans les appels d’offres pour la couverture de notre territoire en haut débit, à l'instar de ce qui vient d'être lancé en Alsace.
Soutien à l'innovation numérique (French tech) pour positionner notre région fortement sur ces filières d'avenir, accompagner par des entreprises par des appels à projets spécifiquement dédié au numérique. Accompagner les PME dans leur mutation vers le numérique.
Développer des incubateurs et accélérateurs pour les Start-up du numérique. Mettre en place un Fonds dédié à l’accompagnement des Start-up.
Développer l’équipement des lycées pour que nos jeunes puissent apprendre avec des outils numériques (tableaux numériques, cartables numériques notamment).
Développer une école du numérique sur le territoire.
Lutter contre la fracture numérique dans tous les domaines : jeunesse, secteur médico-social et social, en lien avec le monde associatif. Développer les MOOC en lien avec l’Université.
Développer le numérique dans les relations avec les usagers, les citoyens : création d’un réseau de Living Lab processus d’expérimentation associant les citoyens, développer des outils pour la consultation, la concertation, l’association au processus de fabrication des schémas régionaux (applications, sites dédiés…), mettre en place une plateforme Open Data pour les données régionales.
En matière de transports, développer une politique volontariste en matière de billettiques et de tarification permettant d’emprunter facilement l’ensemble des moyens de transport à l’échelle du territoire (TC, TER, Car sharing, vélos partagés).
Favoriser la création culturelle s’appuyant sur le numérique : arts visuels, spectacle vivant, se donner l’objectif d’être une région en matière de médiation numérique pour la culture.
A votre disposition,
Cordialement,
Bonjour,
L'accès au numérique pour tous les territoires est une question de justice et d'équité. Aujourd'hui, à l'heure de la 4G et d'Internet à très Haut Débit, de nombreuses zones sont à l'écart d'un accès à Internet.
Nous souhaitons une Région qui soit connectée en tout lieu, principalement en filaire et non en ondes électromagnétiques.
Pour ce faire, nous souhaitons lancer un appel à projet, d'abord pour dégager les fonds nécessaires pour financer les opérations de raccordement à la fibre puis pour réaliser les travaux. En effet, ceci n'est pas une compétence directe de la Région mais l'impact du développement du numérique est notoire pour le maintien d'emplois, d'entreprises et la création d'entreprises.
Il s'agira pour nous de nouer les partenariats, y compris par la mobilisation de fonds européens pour l'investissement, pour réussir le développement du numérique sur la région.
Toutefois, une région Connectée ne doit pas être synonyme d'accélération de la fermeture de commerces de proximités, de services publics.
Cordialement
Monsieur,
Le développement numérique concerne aujourd’hui tous les aspects de la vie.
Nous ne partons pas de rien car de nombreuses initiatives ont été prises notamment par le Conseil Régional de Lorraine.
Notre liste « +Forte, + Proche, Notre Région avec Jean-Pierre Masseret » poursuivra les efforts engagés pour relever le défi de la révolution numérique.
Pour vous donner des éléments simples et concrets, cela signifie que nous accompagnerons les axes suivants :
la couverture numérique des territoires : c’est une question d’équité et d’attractivité pour tous les territoires, c’est une question de vie quotidienne dans les usages.
la formation des jeunes et des salariés aux nouveaux usages et services numériques ainsi qu’aux nouveaux emplois (par exemple, les écoles numériques sur le modèle WEBFORCE 3 sont à développer pour favoriser l’insertion des personnes éloignées de l’emploi notamment).
L’accompagnement et le développement des nouveaux services : e-santé, e-tourisme, e-culture, e-formation, etc.
les acteurs du numérique comme les start-up, les projets s’inscrivant dans le cadre du Label French Tech mis en place par le Gouvernement.
les mutations dans les entreprises (ex. usine du futur).
J’insiste sur le fait que le numérique sera créateur d’activités nouvelles et donc d’emplois. Il est essentiel d’accompagner l’adaptation des compétences et des qualifications par des formations dédiées adéquates.
En complément, nous souhaitons que le numérique soit au cœur d’une nouvelle citoyenneté dans notre région. Dans chaque bassin de vie, nous voulons que les citoyens puissent participer aux décisions qui les concernent, qu’ils puissent s’informer en permanence, suivre les projets et les évaluer, qu’ils puissent proposer eux-mêmes des projets. Pour cela, le numérique contribuera à réussir cette nouvelle relation entre les élus et les citoyens, et d’une certaine façon de refonder le bon fonctionnement de notre démocratie.
Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée. "
Jean-Pierre MASSERET
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Pour plus d’informations : http://notreregion-avecjpm.fr/
Bonjour,
Régionaliser sa gestion, favoriser le développement des régies locales de télécommunication pour augmenter la couverture du réseau câblé sur la région, de manière à ce que chacun, même dans les vallées alsaciennes puisse, à l'exemple de la Suisse, avoir accès au haut débit.
Cordialement
Bonjour Monsieur,
Comme vous pourrez le constater dans notre programme régional (que je vous invite à consulter sur le lien suivant : http://regionales2015.upr.fr/region/alsace-champagne-ardenne-lorraine/), nous proposons de couvrir le territoire en très haut-débit, ainsi que d'augmenter la part des aides allouées à la recherche et à l’innovation.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Êtes vous favorable à l'adoption d'une motion plaçant la région ALCA hors TAFTA afin de protester contre les négociations entre l'Union Européenne et les USA ?
Monsieur,
Le Front National dénonce depuis plusieurs années déjà ce traité qui ne fera qu’affaiblir notre économie et la qualité des produits consommés par les Français. Je me suis donc déjà prononcé pour le vote par le conseil régional d’une motion symbolique qui placera la région ACAL en dehors du TAFTA. Il faut forcer au débat.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
En l'état actuel des négociations de ce traité qui ne devraient plus aboutir avant 2017, les contraintes nouvelles qu'il imposerait sont encore très floues.
Il va sans dire que si les intérêts de la Région, de ses entreprises ou de ses services publics devaient être menacés, nous ne resterions pas sans réagir même si ce traité se négocie au niveau international et non régional.
A votre disposition,
Cordialement
Bonjour,
Les écologistes et notamment Sandrine Bélier, font partis des membres du Parlement Européen les plus actifs contre les dispositions TAFTA. Plusieurs Eurodéputés Ecolos ont pu accéder au texte, bien que les conditions soient restrictives: pas de note, pas de photos, pas de téléphone etc... ce qui démontrent le peu de transparence de ce texte.
Nous prendrons des résolutions contre les mesures TAFTA, même si ces dernières resteront symboliques car cela ne relève pas des compétences de la Région.
Cordialement
Monsieur,
Je partage votre inquiétude concernant le projet TAFTA, notamment sur les conditions actuelles de discussion qui ne sont pas satisfaisantes. La majorité du Conseil Régional de Lorraine a d'ailleurs voté, le 26 juin 2014, une motion pour :
- demander un moratoire sur les négociations sur le Partenariat Transatlantique de commerce et d'investissement et la diffusion publique immédiate des éléments de la négociation,
- demander l'ouverture d'un débat national sur ce partenariat impliquant la pleine participation des collectivités locales et des populations,
- refuser toute tentative d'affaiblir le cadre réglementaire national ou européen, en matière de santé, d'environnement, de protection des travailleurs et des consommateurs.
Je soutiens le Gouvernement français qui demande à la Commission Européenne à la fois plus de transparence et plus de prise en compte de nos intérêts. Soyez assuré de ma vigilance sur ce sujet.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Pour plus d’informations : http://notreregion-avecjpm.fr/
Bonjour,
Nous sommes dans une société capitaliste où c'est la dictature absolue des grandes entreprises, des banques, en un mot de la bourgeoisie. Aucune motion ne nous y fera échapper. C’est pourquoi nous sommes communistes, révolutionnaires et nous ne voulons pas nous battre contre des moulins à vent. C’est le pouvoir de la bourgeoisie qu’il faut remettre en cause, il faut se battre contre les responsables.
Cordialement
Bonjour Monsieur Falempin,
À l'UPR, nous sommes bien évidemment pour l'adoption d'une motion qui placerait l'Alsace Champagne-Ardennes Lorraine hors zone TAFTA.
Néanmoins, vous savez que ce traité est négocié par la commission européenne et que les traités européens ont la primauté sur les droits nationaux.
Du coup, quand la négociation aura été conclue par la commission européenne et les dirigeants américains, nous serons (à notre grand regret) de force dans le TAFTA.
C'est une des raisons pour laquelle, il est impératif de sortir de l'union européenne, ce que nous sommes les seuls à proposer sur la scène politique française.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Bonjour,
Bien entendu. Nous sommes totalement opposés à ce traité instaurant le grand marché transatlantique ! Nous soutiendrons cette motion comme toutes les initiatives allant contre ce projet libéral, du conseil régional au parlement européen. Dangereux pour les peuples, ce projet instaure des normes sanitaires et sociales encore plus défavorables que les normes européennes. Le poulet au chlore, non merci !
Cordialement
Que pensez-vous de la mise en place d'un revenu de base dans la région ALCA ? Si oui, quelles seraient les modalités ?
Monsieur,
Malheureusement, la mise en place d’un revenu de base n’est pas une compétence régionale mais dépend de l’action du gouvernement.
Afin de vous apporter quelques éléments de réponse, je me permets de vous renvoyer vers le programme national du Front National pour toute question sur les aides que l’Etat peut mettre en place et qui ne doivent être accordées qu’aux seuls Français.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
S'agissant de votre proposition, elle semble difficile à mettre en oeuvre dans le cadre du Conseil Régional car nous ne disposons pas de compétences en ce domaine. C'est clairement une prérogative du Gouvernement et du Parlement.
Par contre, nous envisageons d'aider les jeunes à travers notamment un Pacte Jeune PRO pour un accompagnement des jeunes en formation PRO jusqu’à l’obtention d’un emploi (aide au logement, permis de conduire) dans une logique donnant-donnant : dès qu’ils auront un emploi, ils reviendront parrainer un jeune durant son parcours PRO.
Parallèlement, au niveau régional, nous avons la capacité d'intervenir pour accompagner les entreprises, soit dans leur développement, soit dans leurs difficultés.
Nous pouvons aussi travailler avec elle à la valorisation de leurs produits à travers des actions de promotion.
Nous pouvons enfin les aider pour la formation de leurs salariés ou encore adapter les filières de formations, notamment pour les apprentis, en fonction de leurs besoins.
Avec des salariés recrutés localement et formés aux réels besoins des entreprises, nous pourrons éviter des pertes d'emplois qui peuvent amener à la précarisation d'une partie des habitants de notre région.
A votre disposition,
Cordialement,
Monsieur,
Nous sommes favorables à la mise en place, en France et en Europe, d'un revenu de base inconditionnel. Le revenu de base semble l'une des rares mesures sociales aujourd'hui dans le débat public susceptibles de mettre fin à la misère, la précarité et l'exclusion dont est victime une part grandissante de la population, tout en redéfinissant la notion de travail, celle du bénévolat et de la vie privée de la société dans son ensemble. Ce n'est pas une mesure à prendre à la légère ou à décréter unilatéralement. Le revenu de base doit faire l'objet d'un débat de longue durée, de consultations de la population sur les différentes options et de discussions de fond avec les partenaires sociaux. Il ne peut se faire pleinement que dans le cadre d'une redéfinition de notre système social. Mais ce n'est pas de la compétence de la région.
Cependant, nous avons exploré les options disponibles, et dans le cadre du droit à l'expérimentation, il est possible d'agir de plusieurs manières. Nous en avons choisi trois :
La première est de peser politiquement au niveau national pour demander une étude d'impact et la facilitation des expérimentations.
La deuxième est de demander aux services de la région de travailler avec ceux des départements afin d'élaborer une feuille de route vers un dispositif RSA modifié, dans lequel l'État a l'obligation de verser le RSA aux personnes y ayant droit, contrairement à la situation actuelle où les personnes y ayant droit doivent faire elles-mêmes les démarches.
La troisième est d'expérimenter, sur des territoires volontaires, des dispositifs proches du revenu de base inconditionnel.
L'idée générale est double : travailler à l'amélioration des aides sociales dans la région, préparer et préfigurer la mise en place d'un revenu de base national. A la Région, nous associerons le Mouvement Français pour le Revenu de Base, le CESER, les associations et les partenaires sociaux à la démarche.
Bien à vous,
Sandrine Bélier
Bonjour,
C’est dans toute la société qu’il faut un revenu minimum qui ne soit pas inférieur au Smic, un Smic qui devrait être au minimum de 1 700 euros nets, qu’on soit actif, retraité ou handicapé. Il faut prendre pour les financer sur les profits des grosses entreprises et des banques qui n’ont jamais été aussi élevés.
Cordialement
Bonjour Monsieur,
Il faut avoir à l'esprit que nous n'avons plus la possibilité d'émettre notre monnaie. De ce fait, ce projet est rendu quasiment impossible.
À l'Union Populaire Républicaine, nous expliquons que nous devons absolument sortir de l'union européenne et de l'euro, afin de retrouver notre démocratie et notre pouvoir de décision dans les domaines stratégiques.
Nous proposons (dans le cadre national, c'est-à-dire pour les élections présidentielles) de re-nationaliser la Banque de France.
De plus, nous instaurerons également le référendum d'initiative populaire, afin que les citoyens aient un véritable "outil" démocratique et puissent soumettre leurs propositions (par exemple le revenu de base).
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Bonjour,
Nous sommes plutôt défavorable à cette proposition. D'abord, parce que nous considérons que les aides sociales de cette nature doivent être gérée par l’État à l'échelle nationale. Ensuite, parce que nous considérons que chaque citoyen doit pouvoir vivre de son travail. On peut résumer notre démarche par ce slogan qui fait écho dans le monde du travail : « un emploi pour tous, un bon salaire pour chacun. »
Pour la région, concrètement, nous voulons mettre en place un Fonds Régional pour l'emploi, qui se mobiliserait en particulier pour les TPE et l'artisanat. Nous sommes prêts à verser des aides publiques sous condition de création d'emploi. La région doit également se positionner pour promouvoir un renouveau de la production industrielle. Au cœur de l'Europe, à proximité du Rhin, fort des qualifications, des savoirs des travailleurs de notre région, fort d'importantes ressources naturelles comme la forêt, n'y aurait-il pas de belles perspectives à explorer pour vivre et produire ici ?
Cordialement
Êtes vous favorable au Grand Contournement Ouest ?
Monsieur,
Le Grand Contournement Ouest a été intégré dans le dernier contrat de projets État-région, son financement a donc été acté et la réalisation de cette infrastructure doit en ce sens être respectée.
Je ne peux cependant que déplorer les nombreuses péripéties qui ont entouré ce projet et la lenteur du processus décisionnel. La gestion partisane de la mairie socialiste de Strasbourg et du Conseil régional de Philippe Richert a engendré de nombreux retards et surcoûts inutiles.
J’aurai quant à moi à cœur de consulter les habitants concernés par les projets d’envergure régionale et serai respectueux de l’argent du contribuable.
Je souhaiterais également que les poids lourds soient contraints d'emprunter le GCO.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Bonjour,
Le GCO est une infrastructure routière indispensable pour désengorger l'A35 au droit de Strasbourg pénalisant ainsi le développement économique de toute la région. c'est aussi une réponse aux nuisances que subissent aux quotidiens les riverains de cet axe, notamment en termes de pollution de l'air et donc de santé publique. C'est aussi un projet qui va économiquement apporter de vraies opportunités pour le secteur du BTP : ce sont 540 millions d’euros de travaux, presque exclusivement portés sur des fonds privés, qui vont être injectés dans l'économie.
A votre disposition,
Bonjour,
Clairement non.
Le GCO, projet de 24 km d'autoroute privée payante qui consomme 300 hectares de terres agricoles et passant à proximité de nombreux villages n'apportera pas de réponse au problème de congestion de l'A35 à Strasbourg.
En effet, le GCO réduira le trafic de 5 à 10% maximum laissant 90 à 95% des usagers actuels sans alternatives pour leur déplacement.
Pour mémoire, le GCO est estimé à 475M€, financé en grande partie par des fonds privés, certes, mais garanti par l’État, le Département et la Région.
Pire, le contrat qui lie le concessionnaire, l'Etat et les Collectivités prévoit qu'en cas d'insuffisance de trafic sur le GCO, les collectivités locales devront payer tous les ans, une soulte pour que le concessionnaire privé soit à l'équilibre. Cette situation est déjà rencontrée dans le sud ouest, avec l'A65.
Cette situation est un piège. Car le GCO ne contribue pas à réduire le trafic des poids-lourds ou des voitures mais encouragent leur utilisation. Car s'il n'y a pas assez de trafic, Etat, Région et Département devront passer à la caisse. Ainsi, dans cette logique, aucune mesure incitative ne sera prise pour réduire le trafic des camions par exemple ou encourager les automobilistes à utiliser les transports en commun.
Nous pensons que la taxe poids-lourds est une solution pour ré-équilibrer les effets de la LKW-maut (péage Allemand) entre l'A35 et l'A5 en Allemagne.
Nous voulons tester, comme le permet désormais la loi, un service de ferroutage notamment pour franchir sans nuisances, le massif vosgien.
Ces solutions permettrons de réduire le nombre de camion circulant sur l'A35 et de disposer des financements nécessaires aux développements des alternatives.
En outre, pour le transport des personnes, nous souhaitons améliorer les offres de transports en commun afin qu'elles soient plus adaptés aux besoins des citoyen-nes, que cela soit en confort, en tarif, en plage horaire. Nous proposons la création d'une carte "orange" valable sur toute la région, permettant d'utiliser tous les réseaux de transport en commun mais aussi de pouvoir accéder aux services d'autopartage, de vélopartagé et de co-voiturage. Ce service comprendrait en autre, les zones frontaliers pour faciliter les déplacements des frontaliers.
Ces mesures, dont les coûts sont moindre que la construction du GCO, seront certainement plus efficaces que le fait de construire une route supplémentaire.
Enfin, ces mesures auront un impact positif sur la qualité de l'air.
Cordialement
Monsieur,
La question est derrière nous. Le contrat Plan Etat Région qui lie la Région actuelle Alsace à l'Etat a retenu ce projet. La majorité actuelle Alsacienne a fait ce choix. Sa responsabilité est donc engagée et doit être respectée.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Bonjour Monsieur,
Comme vous pourrez le constater dans notre programme régional (que je vous invite à consulter sur le lien suivant : http://regionales2015.upr.fr/region/alsace-champagne-ardenne-lorraine/), pour tout ce qui concerne les grands projets d'infrastructures, nous les soumettrons à des référendums.
Ceci dans le but de favoriser une véritable démocratie locale, et ainsi que les citoyens puissent être les décideurs en ce qui concerne les projets qui vont toucher directement leurs impôts et leurs quotidiens.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Bonjour,
Nous ne sommes pas favorables au projet de GCO en l'état. Son tracé pose problème. De même la mainmise de Vinci sur ce projet n'est pas sans poser de problème. Nous sommes opposés au projet d'un péage urbain qui pénaliserait les travailleurs, les usagers au quotidien. Plus largement, il faut reposer la question des transports en Alsace. D'abord en réduisant les flux de camions qui ne font que traverser l’Alsace, par l'instauration d'une taxe transit comme en Allemagne. Hors de question, que nous accueillions la pollution de tous les camions venant de toute l'Europe qui profitent de l'absence d'une taxe équivalente outre-rhin. Ensuite, il faut élargir l'offre de transports publics en améliorant la desserte des communes, y compris dans les territoires reculés et mettre en place une tarification sociale des transports publics, en particulier des TER.
Cordialement
Êtes vous favorable à l'installation d'une ferme de 1200 taurillons à Wintershouse ? Afficher la suite
Cf http://www.dna.fr/economie/2015/06/19/la-ferme-aux-1-200-taurillons Replier
Monsieur,
Le développement économique et la protection de l’environnement sont au cœur de mes priorités pour la grande région. La ferme des 1200 taurillons de Winterhouse suscite le débat, parfois la controverse et nous devons donc être très vigilants sur les impacts d’un tel projet.
D’une façon plus générale nous orienterons notre soutien prioritairement aux exploitations de taille humaine et familiale pour permettre à tous les agriculteurs de vivre de leur travail.
En conséquence, si je suis élu Président de région, je poursuivrai les consultations engagées par les autorités locales, avec les éleveurs et les riverains sur ce sujet.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Monsieur,
Nous y sommes défavorables. En Alsace, ce projet serait le deuxième d’une telle envergure après le poulailler de Steinseltz. tous deux consacrent un modèle d’agriculture intensive et industrielle inacceptable pour les écologistes.
Ce projet industriel menace la santé des populations locales, va à l’encontre du bien-être animal et mène l’agriculture dans le mur du gigantisme et détruit de nombreux emplois paysans.
Nous préférons l’agriculture paysanne aux fermes-usines. Ce projet 1200 taurillons menace la nappe phréatique et l’ensemble de la santé de la population, pour une production de viande industrielle et de piètre qualité. C’est mépriser l’intérêt général que de perpétuer un système destructeur pour les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement. Il faut aujourd’hui soutenir nos agriculteurs intelligemment, en les aidant à s’installer en bio avec l’aide des fonds européens, et promouvoir une agriculture paysanne à taille humaine. Les alternatives à la viande sont de plus en plus recherchées par les consommateurs et doivent être encouragées, notamment dans la restauration scolaire.
Je vous invite à consulter notre site pour plus d'information sur notre position par rapport à l'agriculture : http://lenergienouvelle.fr/le-programme/
Bien à vous,
Sandrine Bélier
Monsieur,
Cette question doit être traitée dans le cadre général de ce que sera l'agriculture de Demain. Nous devrons faire cohabiter une économie agricole devant s'insérer dans le marché mondial et une économie agricole de proximité s'insérant dans le développement des territoires ruraux. C'est le juste équilibre entre cette approche que la nouvelle Région recherchera au service de la qualité des produits et de l'Humain.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Pour plus d’informations : http://notreregion-avecjpm.fr/
Bonjour,
Nous sommes adeptes des circuits courts au niveau agricole. Il faut éviter une concentration trop importante d'animaux sur un même lieu afin d'éviter des nuisances ( pollutions des sols , bien être animal etc ).
Cordialement
Bonjour Monsieur Kasmi,
Tout d'abord, il faut absolument avoir à l'esprit qu'en matière agricole, les décisions sont prises par l'union européenne, et notamment par la commission européenne dont les membres ne sont pas élus.
D'ailleurs, connaissez-vous le commissaire européen à l'agriculture ?
C'est Monsieur Phil Hogan, un Irlandais dont vous pourrez juger les récents "exploits" sur le lien suivant : http://www.humanite.fr/commission-europeenne-phil-hogan-est-il-un-esprit-simple-ou-un-simple-desprit-586398
De plus, dans l'article 39 du traité sur le fonctionnement de l'union européenne, il est inscrit (je cite) " il faut accroître la productivité en développant le progrès technique [...] ainsi qu'un emploi optimum de la main-d'oeuvre ".
En clair, il faut sans cesse utiliser les pesticides, les OGM, etc. et la main d'oeuvre doit être réduite et en faire plus.
Nous sommes bien évidement opposés à ces projets, mais ne pouvons nous y opposer efficacement, sans sortir de l'union européenne.
Néanmoins, dans notre programme régional (que je vous invite à consulter sur le lien suivant : http://regionales2015.upr.fr/region/alsace-champagne-ardenne-lorraine/) vous pourrez constater, que nous proposons de créer à titre expérimental des centres régionaux de distribution de produits agricoles sur le modèle des AMAP.
Ces centres seront financés par la région et à but non lucratif, permettant d'établir des circuits courts, ainsi que de vendre des productions agricoles locales à des prix rémunérateurs pour les agriculteurs et intéressants pour les consommateurs.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Bonjour,
Non, nous ne sommes pas favorables à ce projet, symbole de l'agriculture productiviste dont on connaît les effets néfastes pour les travailleurs de la terre et les effets sur notre santé. A ce propos, l'eurodéputé Front de Gauche Patrick Le Hyaric a alerté la commission européenne sur ce projet qui inquiète à juste titre les habitants du Nord de l'Alsace.
Cordialement
Que pensez vous de l’Économie Sociale et Solidaire ? Que proposez vous pour que la grande région la soutienne ? Par quelles mesures ?
Monsieur,
L’Économie Sociale et Solidaire joue un rôle croissant dans l’économie de la région, puisqu’elle constitue un important gisement d’emplois et qu’elle renforce notre projet de priorité régionale, en privilégiant notamment les circuits courts.
Elu Président de région, je favoriserai un accompagnement par le Conseil régional des projets se réclamant de l’Économie Sociale et Solidaire, notamment en participant à leur financement et en développant la territorialisation des politiques régionales.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine
Bonjour,
L'Économie Sociale et Solidaire est un gisement d'emplois conséquent et un important levier de croissance. Notre objectif est de faire du Grand Est une région exemplaire pour l’économie circulaire, développer les circuits courts. Pour ce faire, nous voulons créer un réseau de projets partagés entre l’économie sociale et solidaire et l’économie classique, mais aussi développer l’innovation sociale, l’entreprenariat solidaire, les liens entre les différents acteurs de l’ÉSS. La Région aura aussi un rôle d'impulsion et d'accompagnement des initiatives de ses habitants.
A votre disposition,
Monsieur,
Nous proposons de bonifier les aides à l'ESS, par exemple le soutient à la création des SCOP, notamment en harmonisant à la hausse les bourses émergence des trois régions pour atteindre 5000€/personne sans plafonnement par projet.
Nous proposons notamment de former les agents et élus régionaux à l’ESS pour une intégration transversale, de renforcer le soutien et le partenariat avec les CRESS et de renforcer le soutien aux structures d’insertion. Nous souhaitons avoir une antenne de la CRESS et une Maison de l'ESS par département.
En effet, la coopération est notre avenir, elle est aussi le signe d’une société apaisée. Pour créer de l’activité et de l’emploi dans les secteurs du commerce et de la distribution, de la restauration, de l’artisanat, de la garde d’enfants, de l’aide aux personnes âgées ou en situation de handicap, du numérique ou encore du recyclage, nous faisons le pari de l’économie sociale et solidaire. Sous toutes ses formes, nous appuierons cette autre façon d’entreprendre où le capital est partagé, les écarts de salaires contenus et les bénéfices justement répartis.
Pour nous, l’ESS n’est pas un secteur à part, mais bien le vecteur de nouveaux modèles économiques dans tous les secteurs d’activités. Ainsi, à l’échelle régionale, elle doit être intégrée dans l’ensemble des politiques de la Région Grand Est, au niveau stratégique comme en transversal dans les politiques sectorielles (développement économique, culture, agriculture, lycées, mobilité, déchets, aménagement du territoire, énergie...).
Bien à vous,
Sandrine Bélier
Monsieur,
L'économie sociale et solidaire est une partie intégrante du développement économique et social d'un territoire. C'est à dire qu'elle doit être soutenue. Nous avons fait le choix de la proximité territoriale comme facteur de croissance et de développement. C'est territoire par territoire que seront définies les mesures qui conviendront à chaque situation.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Bonjour Monsieur,
Nous soutenons bien entendu ces initiatives.
D'ailleurs, dans notre programme régionale (que je vous invite à consulter sur le lien suivant : http://regionales2015.upr.fr/region/alsace-champagne-ardenne-lorraine/), vous pourrez constater que nous proposons de créer à titre expérimental, des centres régionaux de distribution de produits agricoles sur le modèle des AMAP. Ces centres seront financés par la région et à but non lucratif, permettant d'établir des circuits courts et de vendre des productions agricoles locales à des prix rémunérateurs pour les agriculteurs et intéressants pour les consommateurs.
De plus, comme nous proposons d'instaurer des référendums d'initiatives populaires dans la région, les citoyens pourront eux-mêmes nous soumettre leurs projets, et notamment dans le domaine de l'Économie Sociale et Solidaire.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête de liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Bonjour,
Nous considérons que l'économie sociale et solidaire n'est pas une affaire marginale. C'est un levier essentiel dans la construction d’un nouveau système économique en rupture avec le capitalisme. Les principes de non lucrativité, de personnalité morale de l’entreprise, de démocratie, de solidarité et d'égalité sont des valeurs que nous portons pleinement.
L'essor des coopératives (SCOP) associé à de grands services publics et à des renationalisations démocratiques des secteurs clés de la production peuvent-être les prémisses d'un changement de société que nous appelons de nos vœux. Si notre ambition est nationale, elle se décline également à l'échelle de la région. Les SCOP peuvent-être des outils de relocalisation, de reconversion écologique et sociale de l'économie en donnant la priorité aux circuits courts et à l’économie circulaire dans une démarche d'intérêt général.
Ces coopératives pourraient bénéficier de l'argent public. Elles pourraient recevoir des aides publiques via la création d’un fonds régional de développement de l'emploi et de la formation pour faciliter leur accès au crédit bancaire étant donné l’utilité sociale et environnementale des coopératives.
De même que nous favoriserons et accompagnerons la reprise des entreprises par leurs salariés à l'image de l'expérience et de la lutte exemplaire des Fralibs près de Marseille.
Cordialement
Que proposez vous pour lutter contre les délocalisations ? Quelle est la véritable cause des délocalisations ?
Monsieur,
Elu Président de région, je prends l’engagement d’exiger le remboursement des aides publiques aux entreprises qui délocalisent, licencient massivement ou embauchent des travailleurs étrangers détachés.
Notre favoriserons également les TPE et PME locales dans l’accès aux marchés publics et nous généraliserons le « manger français » dans les cantines des lycées, centres de formation d’apprentis et autres cantines gérées par la région pour faire vivre nos agriculteurs régionaux et nationaux.
En restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine
Monsieur,
S'agissant des délocalisations, la principale raison invoquée est le coût du travail dans notre pays et de la difficulté de trouver des salariés qualifiés.
Si le premier sujet n'est pas une compétence du Conseil Régional mais du Gouvernement et du Parlement, en revanche nous pouvons agir sur le second.
Au niveau régional, nous avons la capacité d'intervenir pour accompagner les entreprises, soit dans leur développement, soit dans leurs difficultés.
Nous pouvons aussi travailler avec elle à la valorisation de leurs produits à travers des actions de promotion.
Nous pouvons enfin les aider pour la formation de leurs salariés ou encore adapter les filières de formations, notamment pour les apprentis, en fonction de leurs besoins.
Avec des salariés recrutés localement et formés aux réels besoins des entreprises, nous pourrons éviter des délocalisations.
A votre disposition,
Cordialement,
Monsieur,
L'organisation territoriale que nous proposons permettra la mise en œuvre d'une politique de proximité avec les entreprises. C'est dans ce cadre que seront précisés les outils et les mesures qui permettront aux entreprises locales d'acquérir des savoirs faire et des marchés fixant leurs activités sur nos territoires.
Jean-Pierre Masseret
Tête de liste régionale des socialistes, écologistes, progressistes et communistes
Liste « + Forte, + Proche, Notre région avec Jean-Pierre Masseret »
Pour plus d’informations : http://notreregion-avecjpm.fr/
Bonjour Monsieur,
À l'Union Populaire Républicaine, nous ne cessons d'expliquer aux Français la raison profonde des délocalisations massives qui ont lieu dans notre pays.
Les traités européens, et notamment l'article 63 du traité sur le fonctionnement de l'union européenne, interdisent aux États membres de l'union européenne d'empêcher les délocalisations.
Avant le traité de Maastricht (dans lequel cet article était déjà présent), l'État pouvait empêcher les délocalisations ou mettre des quotas d'importations 0 sur les produits fabriqués dans des pays à très bas coûts de salaires.
Du coup, le mot délocalisation n'existait tout simplement pas.
Désormais, à cause des traités européens, nous sommes devenus impuissants pour lutter efficacement contre la fuite de nos emplois (chaque jour nous perdons entre 600 et 800 emplois industriels et une usine ferme chaque jour).
De plus, les traités ne peuvent être modifiés, à cause de l'article 48 du traité de l'union européenne (TUE), qui fixe qu'il faut que tous les États (unanimité) soient d'accord au même moment pour changer les traités.
Dès lors, la seule solution viable, pour empêcher les délocalisations et lutter contre le chômage, est de sortir de l'union européenne et de l'euro (par l'article 50 du TUE), ce que nous sommes le seul parti politique français à proposer.
Néanmoins, comme nous n'avons plus les "manettes" et que nous sommes honnêtes avec les électeurs, nous n'allons pas promettre monts et merveilles aux citoyens.
Par contre, nous proposons de réorienter massivement les aides accordées par le Conseil Régional vers les PME, les TPE et l'Artisanat.
Bien à vous,
David Wentzel
Tête liste UPR ACAL
Délégué UPR Vosges
Monsieur,
La fusion des trois régions Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine, décidée par le gouvernement socialiste et que les candidats Richert et Masseret n’ont pu ni voulu ni empêcher, va mettre considérablement à mal les identités de nos régions. Nous avons combattu cette fusion et nous ne la pensons pas éternelle.
Elu Président de région, j’aurai donc à cœur de préserver la richesse culturelle de nos trois régions. Cela passe notamment par la défense du Droit local et du régime concordataire en Alsace-Moselle tels qu'ils sont.
Je propose également que les élus de la grande région se réunissent tous les deux mois en formation « ancienne région » sur les questions culturelles et identitaires. Nous sanctuariserons également les dépenses liées à l’apprentissage des langues régionales et à la culture.
Restant à votre écoute,
Florian Philippot
Tête de liste Front National – Région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine