Dans cette quête où la lumière danse sur les visages et où chaque regard raconte une histoire, je me demande quel objectif, le 35mm ou le 50mm, saura mieux capturer ces instants fugaces. Le 35mm, avec sa largeur, semble promettre une perspective qui embrasse l’environnement du sujet, comme un poème qui cherche à saisir le tout plutôt que l’individu. Mais peut-être que le 50mm, plus serré et intime, plonge plus profondément dans la psychologie du modèle, révélant des nuances cachées derrière chaque sourire. Peut-on dire qu’un objectif reflète non seulement l’image mais aussi l’essence de celui qui se trouve devant l’objectif ? Cette question m’obsède : entre ces deux lentilles, laquelle permet de toucher à ce qui est vrai et profond chez l’autre ? Dans cette bataille entre la proximité et la distance, quel choix donnera vie aux portraits comme autant de réflexions de l’âme humaine ?
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Le 35mm c’est bien pour des scènes, mais avec le 50mm tu tombes directement dans l’âme du modèle. Tente-le, ça vaut vraiment le coup.
Des études montrent que les portraits au 50mm révèlent souvent plus d’émotion, mais le 35mm invite à une narration enrichissante. Choisir l’un ou l’autre dépend de ce qu’on souhaite vraiment transmettre.
Ce dont je suis fier, c’est d’avoir capturé des histoires inoubliables avec un 35mm, montrant à quel point le décor peut dévoiler l’âme.