g testé le jeûne intermittent pdt 2 mois, c pas mal mais un peu dur au début, surtout les premiers jours. j’ai remarqué que g plus d’énergie et g perdu quelques kg. par contre, ça me faisait souvent penser à la nourriture. j’suis curieux de savoir si d’autres ont eu des résultats similaires ou si c t vraiment juste moi. alors, vous avez déjà testé le jeûne intermittent ? c comment pour vous ?
Partager
Entre nous, est-ce que vraiment on a besoin de se priver pour sentir plus d’énergie ? Ça m’étonne.
Le truc, c’est que quand t’es à l’étranger, tu réalises que le temps et la bouffe sont pas les mêmes. Oublie tout, dévorer à chaque coin de rue, rofl !
Wahou! Franchement, ton expérience me parle trop. J’ai essayé aussi et ça a été une montagne russe d’émotions. Au début, c’était l’angoisse totale : je me souviens de la première journée où j’ai failli craquer devant un donut à la crème. La tentation était intense! Mais tu sais quoi? Après quelques jours, ça a commencé à devenir comme un jeu. J’ai vraiment ressenti une sorte de liberté, genre « ok, aujourd’hui je ne mange pas avant telle heure ». C’était un défi que je m’imposais et j’adorais ça.
J’ai remarqué que les premières heures sans grignoter étaient les plus difficiles. Parfois, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait « allez, juste un petit encas! » mais au fur et à mesure des jours, je gagnais en confiance. Je ne pensais même plus à manger toutes les cinq minutes comme avant.
Et puis il y a eu ce moment magique où j’étais en sortie avec des amis. On s’est arrêté dans une pâtisserie et moi j’étais là, nonchalante, sans ressentir le besoin de craquer pour une tarte aux fruits. C’était presque euphorique! Le mieux? La sensation d’énergie qui est arrivée peu après : réveillée sans caféine et prête à conquérir le monde.
Mais ouais, l’aspect mental est super fort aussi. Parfois je sentais que ma tête devenait obsédée par la nourriture… ce n’était pas toujours facile à gérer. J’ai compris que c’est un vrai cheminement personnel qu’il faut explorer avec patience et bienveillance envers soi-même.
Alors ouais, t’es pas seule dans cette galère ! Chaque parcours est unique et peut-être que ça te surprendra encore plus par la suite. L’important reste de trouver son rythme sans se mettre trop de pression !
Pour ma part, je trouve que le jeûne intermittent a du bon. Ça t’oblige à t’écouter, à vraiment sentir ton corps. C’est comme si on redécouvrait un rythme naturel. Certes, on pense souvent à la bouffe au début, mais après, tu réalises que ça fait du bien de se libérer un peu de tout ça. Si on est en phase avec son ventre et ses envies, y’a pas à s’inquiéter pour les kilos qui s’envolent !
C’est l’angoisse de la fringale qui t’arrive en mode troll ! Manger comme un roi pendant les fenêtres, c’est l’ultimate hack.
Ah, le jeûne intermittent, ça me rappelle les vieux régimes de mes jeunes années, une époque où on n’avait pas tous ces gadgets. C’est un peu comme un défi, il faut du caractère, et on ressent cette légèreté après quelques jours. Les pensées autour de la nourriture tournent en boucle au début, c’est vrai. On se sent vivant mais un peu nostalgique des bons petits plats d’antan.
J’ai remarqué que ça réveille des réflexes bizarres, mais l’énergie boostée vaut le coup. On s’habitue vite, finalement !
Le rush des premiers jours est un vrai boss de fin ! Au début, c’était l’angoisse, à chaque fois que je voyais des snacks dans le jeu, j’avais envie de rage quit. Mais j’ai pris ça comme un défi. Je me suis mise à farm mes sessions de sport pour compenser. Une fois lancée, l’énergie était au top et les résultats sont tombés comme un loot épique. C’est pas facile, mais quand tu pwnes ton vieux toi, ça fait trop plaisir !
J’ai plongé dans le jeûne intermittent et c’est un vrai trip. Au début, j’ai eu quelques galères avec l’envie de grignoter, mais après une semaine, mon corps a commencé à s’habituer. J’ai remarqué une clarté d’esprit que je n’avais pas avant, comme si mon cerveau avait fait le ménage. En ce qui concerne la balance, ouais, j’ai perdu quelques kilos sans trop forcer.
C’est bizarre parce que ça m’a vraiment amené à repenser mes habitudes alimentaires. Parfois, on devient un peu obsédé par ce qu’on va manger après la période de jeûne. D’un autre côté, ça m’a aussi permis de savourer les repas beaucoup plus. Ça change complètement la relation à la nourriture. Je ne dirais pas que c’est facile tout le temps, mais ça vaut le coup de tester pour voir comment ton corps réagit. Les résultats peuvent vraiment varier d’une personne à l’autre.
Contrairement à ce qu’on dit, le jeûne intermittent, c’est pas juste une mode pour les hipsters. Franchement, j’ai essayé aussi et après une phase d’adaptation, j’ai kiffé. L’énergie qui arrive, c’est ouf, comme un turbo boost. La perte de poids était là, mais ce que j’ai vraiment capté, c’est la manière dont tu commences à voir la bouffe autrement. Comme si ça devenait moins une obsession. Les fringales au début ? Grave relou ! Mais avec le temps, t’apprends à gérer. À voir si tu persistes ou si c’est juste une passade !
La solution c’est d’accepter cette lutte intérieure qu’on a tous, le rapport à la bouffe est presque philosophique. Ça réveille des questions sur le besoin, le désir, et même le temps. En fait, g réalisé que ce jeûne, c pas juste un truc pour perdre du poids, c une façon de redéfinir ses priorités, sa relation avec soi-même. Les résultats physiques sont là mais le plus intéressant, c’est ce qui se passe dans la tête pendant tout ça.
Super! Perso, j’ai essayé ça en famille et ouais, c’est un peu la lutte au début. Les mômes réclament à manger tout le temps, mdr! Mais au fil des jours, t’es plus alerte et ça donne un vrai coup de fouet. J’ai même remarqué que l’odeur de la cuisine me tentait moins avec le temps, bizarre mais sympa. Peut-être que l’esprit s’habitue? Franchement, ça peut valoir le coup de persévérer! Tu comptes essayer plus longtemps?
Dans ce cas précis, c’est pas seulement une question de bouffe. Ça touche à notre rapport au temps et aux envies. En fait, j’ai remarqué que ce qui compte, c’est de déconnecter son esprit de la routine alimentaire. Peu de gens réalisent que ces périodes sans grignoter peuvent révéler des failles dans notre quotidien, comme une quête de liberté ou un besoin d’évasion.