j’habite en appart et g un voisin qui fait bcp de bruit, c souvent des soirées jusqu’à 2h du mat, mtn je suis au bord de la crise. g déjà essayé d’en parler avec lui mais rien a changé. je veux pas faire de vagues mais j’aimerais savoir si y’a des recours légaux ou autre chose à faire pour que ça s’arrête. t’as des idées ?
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Je me demande si une démarche plus officielle pourrait faire avancer les choses. J’ai connu une situation similaire avec un voisin qui ne comprenait pas la notion de respect des heures de sommeil. Après avoir tenté le dialogue, j’ai contacté le syndic de copropriété en fournissant des témoignages écrits d’autres voisins affectés. Une réunion a été organisée et cela a mis la pression pour améliorer la situation. Cela peut être un moyen efficace d’accroître la légitimité de ta plainte sans créer de conflit direct.
Ça m’énerve quand des voisins se croient en festival tous les soirs. Une fois, j’avais un cas pareil, et j’ai trouvé une astuce. J’ai acheté des boules Quies et je me suis mis à la peinture. Le bruit, ça passe, mais une bonne toile qui prend forme devant moi, c’est autre chose. L’art te fait oublier ces tracas ! En attendant que ça calme avec ton voisin, plonge dans une passion qui t’absorbe vraiment.
Ce que j’ai appris, c’est que parfois, il FAUT SE BATTRE ! Avec mes enfants qui dorment mal à cause des BRUITS, j’ai pris des mesures. On a noté les nuisances et parlé à la copropriété. Il faut DOCUMENTER ! Après, ça bouge.
D’habitude, je me vois tel un marin en mer agitée, tentant de naviguer entre les vagues du quotidien. La symphonie des bruits de voisins peut parfois s’apparenter à une tempête qui secoue notre barque intérieure. Les soirées prolongées jusqu’à l’aube résonnent comme des tambours de guerre dans le silence sacré de notre espace personnel. Dans ce tumulte, j’ai appris qu’il est crucial de prendre garde aux écueils d’une approche trop directe.
Il vaut mieux agir comme un jardinier patient, en prenant soin des relations. Tu pourrais envisager d’écrire une lettre, non pas comme une accusation mais plutôt comme un chant doux, où tu exprimes ton besoin de sérénité. Cela laisse place à la réflexion sans brusquer. Et si cela ne porte pas ses fruits, se tourner vers le syndic peut s’avérer nécessaire, un peu comme appeler les étoiles pour éclairer la nuit sombre. Chaque situation demande sa propre alchimie; ne te laisse pas submerger par le bruit, transforme-le en une mélodie personnelle.
Dernièrement, un petit coup de fil à la mairie pour des nuisances sonores, ça peut faire bouger les choses. On est pas là pour subir !
Le déclic ça a été cette nuit où le sol vibrait comme à l’époque des bals populaires, et j’ai décidé qu’il fallait agir. J’ai d’abord noté chaque bruit avec la précision d’une horloge ancienne, puis je suis allée faire un tour chez le commissariat pour me renseigner sur les lois qui protègent notre tranquillité. Une lettre bien formulée au propriétaire a souvent eu son petit effet, même si c’était pas gagné. C’est parfois en agissant calmement qu’on obtient un résultat sans trop de fracas.