Allez! L’amour, c’est comme un jardin. Si tu t’acharnes à gratter la terre, les plantes étouffent et meurent. J’ai eu une voisine, Marie, qui était pareille. À chaque fois qu’elle voyait son mari parler avec une autre femme au marché, c’était l’alarme ! Un jour, elle a décidé de laisser pousser ses fleurs sans intervenir. Elle s’est mise à faire des gâteaux et à partager avec ses amis du quartier. Au fil du temps, elle a vu que son mari revenait avec le sourire et de petites histoires à raconter. Ça lui a ouvert les yeux : moins elle se souciait de ce qui pouvait ne pas aller, plus leur lien se solidifiait.

Ton copain n’est pas une mauvaise herbe qu’il faut surveiller. Donne-lui de l’espace pour respirer et cultiver des passions personnelles. Si tu es patiente et que tu choisis d’épanouir tes propres intérêts, tu verras peut-être fleurir une belle complicité sans trop de chichis !