Le déclic ça a été quand j’ai compris que l’organisation ne se limitait pas à un modèle figé. Au début, j’étais bien coincé avec un plan traditionnel qui semblait me suffire, mais en essayant de l’appliquer, je me suis vite rendu compte que ça ne collait pas avec mes idées. Une fois, un ami m’a raconté comment il avait structuré son travail autour de thèmes plus flexibles, presque comme des chapitres de roman, où chaque partie apportait une nouvelle perspective. Ça a déclenché quelque chose chez moi.

Du coup, j’ai testé cette approche. En créant des sections moins rigides, je pouvais explorer des pistes inattendues. Le tout était de rester concentré sur le fil conducteur. La clé réside dans la manière dont tu relis les éléments ensemble. Avec un calendrier bien ficelé, je me suis senti moins perdu, et même si ça demande un peu d’ajustement, c’est vraiment enrichissant. L’essentiel reste d’expérimenter pour trouver ce qui te parle le plus.