Parler de communication non-violente, c’est un peu comme vanter les mérites d’un régime miracle. On a tous entendu les belles théories, mais en pratique, c’est pas toujours aussi rose. Oui, il y a des concepts qui peuvent aider à désamorcer des conflits, mais est-ce que ça suffit pour régler le bazar dans des relations tendues ? Pas sûr.

L’idée d’éviter les cris et les reproches peut séduire sur le papier, mais quand t’es face à quelqu’un qui refuse d’écouter ou qui cherche à provoquer, tu réalises vite que ça ne marche pas tout seul. Il faut une volonté partagée. Si l’autre n’est pas prêt à discuter calmement, ça devient du vent.

Personnellement, j’ai tenté certaines méthodes. Parfois ça fonctionne, mais souvent, on tombe dans des dialogues de sourds. On se perd dans des formulations polies qui mènent nulle part. Être authentique, c’est crucial ; si tu sens qu’il faut passer par des chemins détournés pour t’exprimer, ce n’est pas le bon angle. Franchement, parfois un bon clash bien placé fait plus de bien que des paroles dorées.