Mouais… L’entretien d’une chaîne de vélo, c’est un peu comme s’occuper de soi-même, non ? On se dit toujours que ça devrait être simple, mais on finit souvent par procrastiner. Pourquoi cette chaîne est-elle si bruyante ? Peut-être qu’elle nous dit quelque chose sur notre propre état d’esprit. Se retrouver face à cette mécanique sale, ça suscite des questions. Est-ce que la propreté extérieure reflète vraiment un équilibre intérieur ?

Pour la technique, je me demande s’il existe un produit miracle. Les lubrifiants sont-ils tous égaux ou est-ce qu’il faut se fier aux marques bien connues ? J’imagine que frotter, essuyer et relubrifier doit être une sorte de rituel. Mais ce temps passé là-dedans pourrait-il aussi être vu comme une pause méditative ? Parfois, dans l’agitation quotidienne, on oublie que prendre soin de ces détails peut offrir une forme de satisfaction. Au fond, quel sens donne-t-on à cet entretien ? Est-ce juste une tâche à cocher ou une façon de renouer avec notre matériel et soi-même ?

J’ai découvert que g une recette de mousse au chocolat sans tps à perdre, juste du chocolat fondu mélangé avec de la crème. g aussi testé un mix de biscuits écrasés et de crème avec des pépites de choc, c simple mais les potes adorent. en plus, le tiramisu, tu peux le faire avec du café ou du jus d’orange, ça change tout. fin bref, faut pas se prendre la tête pour épater!